La précision stupéfiante du sarcophage de la Pyramide de Khéphren

Les pyramides d'Egypte
L'expert en ingénierie Christopher Dunn est en mission personnelle depuis la fin des années 1970 pour tenter de découvrir les secrets de la Grande Pyramide. Selon lui, des indices particuliers dans le design et la conception de la Grande Pyramide pourraient aider à comprendre pourquoi elle a été construite.


Si on s'arrête à la Grande Pyramide et à la culture qui l'a bâtie, on sait qu'ils étaient des ingénieurs absolument brillants. En fait beaucoup d'ingénieurs affirment qu'on n'arriverait pas à la bâtir de nos jours. Pourtant elle a été construite il y a 4500 ans avec la précision d'une machine. Quand Christopher Dunn a commencé ses recherche et qu'il a examiné la Grande Pyramide en se concentrant sur ses caractéristiques techniques, il a compris qu'elle était construite comme une machine et qu'elle fonctionnait peut-être comme une machine. Le design intérieur de la Grande Pyramide comprend quatre conduits de ventilation inclinés émanant de la chambre du roi et de la chambre de la reine. Comme la pyramide elle-même, leur présence et leur fonction ne s'expliquent pas aisément. La difficulté que représente la construction de ces conduits est incroyable. C'est comme construire une cheminée inclinée à travers une maison. Pour un ingénieur en bâtiment, c'est un cauchemar.

 
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En février 1995, Christopher Dunn a rejoint Graham Hancock et Robert Bauval au Caire pour participer à un documentaire. Pendant son séjour, il a découvert et mesuré des artefacts produits par les anciens bâtisseurs de pyramides, ce qui prouve sans l'ombre d'un doute que des outils et des méthodes sophistiqués ont été utilisés par cette civilisation antique. Deux des artefacts en question sont bien connus ; un autre ne l'est pas, mais il est plus accessible, car il est en plein air, en partie enfoui dans le sable du plateau de Gizeh.

Pour ce voyage en Égypte, Christopher Dunn avait apporté quelques instruments avec lesquels il avait prévu d'inspecter les caractéristiques qu'il avait identifiées lors de son voyage en 1986. Les instruments étaient :
Un "parallèle" : une pièce d'acier plate d'environ 6 pouces de long et 1/4 de pouce d'épaisseur. Les bords sont rectifiés à plat à moins de 0,0002 pouce.
Un indicateur Interapid. (Connu comme une jauge d'horloge par les britanniques.)
Un gabarit de contour filaire. Un appareil autrefois utilisé par les graveurs pour former des formes.
De la cire dure.

Il avait amené le gabarit de contour pour vérifier l'intérieur de l'embouchure du puits sud à l'intérieur de la chambre du roi. Malheureusement, après son arrivée, il apprend que les choses avaient changé depuis sa dernière visite. En 1993, un ingénieur en robotique allemand, Rudolph Gantenbrink, a installé un ventilateur à l'intérieur de cette ouverture, ce qui l'a empêché de le vérifier.

Il avait pris le long parallèle pour vérifier rapidement la surface des artefacts de granit afin de déterminer leur précision. L'indicateur devait être attaché au parallèle pour une inspection plus poussée des artefacts appropriés. Bien que l’indicateur n’ait pas survécu aux rigueurs des voyages internationaux, les instruments qui lui restaient lui permettaient de conclure sur la précision avec laquelle travaillaient les anciens Égyptiens.

Le premier objet qu'il a inspecté était le sarcophage à l'intérieur de la deuxième pyramide (Khéphren) sur le plateau de Gizeh. Il est rentré à l'intérieur de la boîte et, avec une lampe de poche et le parallèle, il a été stupéfait de constater que la surface intérieure de la boîte était parfaitement lisse et parfaitement plate. En plaçant le bord du parallèle contre la surface, il a éclairé avec sa lampe de poche. Aucune lumière ne passait entre la pierre et le gabarit. Peu importe où il déplaçait le parallèle, verticalement, horizontalement, en le faisant glisser comme on le ferait sur une plaque de surface de précision, il ne pouvait détecter aucune déviation par rapport à une surface parfaitement plane.

Un groupe de touristes espagnols a également trouvé cela extrêmement intéressant et s'est rassemblé autour de lui alors que qu'il s'exclamait avec animation dans son magnétophone : « la précision de l'âge spatial ! » Les guides étaient également très animés. Il senti qu'ils ne pensaient probablement pas qu'il était approprié qu'un étranger vivant soit à l'endroit où un croyant égyptien devrait aller, alors il s'est retiré respectueusement du sarcophage et il a continué son examen à l'extérieur.


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