Les difficultés techniques rencontrées pour terminer l'intérieur de cette pièce ont rendu le sarcophage de la pyramide de Khéphren simple en comparaison. Le chercheur canadien Robert McKenty l'accompagnait à cette époque. Il a vu la signification de la découverte et filmait avec sa caméra. À ce moment, Christopher savait ce que Howard Carter devait ressentir en découvrant la tombe de Toutânkhamon. Christopher Dunn a été tellement étonné par cette découverte qu'il ne s'est rendu compte que plus tard que les constructeurs de ces reliques, pour une raison ésotérique quelconque, leur avaient demandé d'être ultra précis.
Cette découverte et la prise de conscience de son importance critique pour les artisans qui l'ont construite ont dépassé les rêves les plus fous de découvertes en Égypte de Christopher Dunn. Pour un homme de son goût, c'était mieux que la tombe du roi Toutânkhamon. Les intentions des égyptiens en matière de précision sont parfaitement claires, mais dans quel but ?
En rentrant aux États-Unis Christopher Dunn a contacté quatre fabricants de granit de précision et il n'a pas réussi à en trouver un capable de faire ce genre de travail. Leurs entreprises n’avait ni l’équipement ni les capacités nécessaires pour produire les boîtes de cette manière. Il suggère que d'autres études de ces artefacts soient faites et, le cas échéant, devraient inclure une cartographie et une inspection approfondies avec les outils suivants :
Un outil d'alignement laser avec des capacités de vérification par rétro-réflecteur de la planéité de la surface
Une jauge d'épaisseur à ultrasons pour vérifier l'épaisseur des parois afin de déterminer leur consistance à une épaisseur uniforme.
Micromètres intérieurs pour mesurer avec précision la distance entre les parois intérieures.
Un plat optique avec source de lumière monochromatique. Les surfaces sont-elles vraiment finies avec un précision optique ? (Bien qu'il reste une question quant à savoir s'il y aurait suffisamment de réflexion sur la surface.)
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