Il dit que le souverain architecte composa, sur des principes maçonniques, le beau globe, et commanda à la maîtresse science (géométrie) de tracer le monde planétaire, et de régler par ses lois tout le merveilleux système dans une juste et inaltérable proportion, roulant autour du soleil central. Il poursuit par :
mais je n’ai pas la liberté de tirer le rideau et de m’étendre ouvertement sur ce chapitre. Il est sacré et restera toujours sacré. Ceux qui ont été honorés de ce secret ne le trahiront pas ; ceux qui l’ignorent ne pourront le trahir.
Par cette dernière partie de la phrase, Smith veut parler des deux classes inférieures, le compagnon et l’apprenti ; car il dit, à la page suivante :
Ce n’est pas à tous ceux qui sont purement initiés dans la Maçonnerie que l’on en confie tous les mystères : ils ne s’obtiennent ni par le temps ni par toutes sortes d’individus.
Mais qui pourrait bien croire que la maçonnerie a pour origine la naissance du monde ?
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