3 - Les troubles psychiques liés au sommeil

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La schizothymie

Peu d’individus s’endorment aussitôt couchés ; mais si c’est le cas, les rêves sont rares. Il s’agit alors presque toujours de schizothymes et il semble qu’ils tombent directement dans un sommeil profond. Mais la plupart des dormeurs passent d’abord devant une série d’images hypnagogiques qui émergent des profondeurs ; ils se trouvent dans un état d’engourdissement où ces images viennent se mêler à toutes sortes d’états d’âme et à d’autres images provenant des événements de la journée.


Freud assimile les rêves à des troubles sexuels

Le premier savant moderne à avoir étudié les rêves est Sigmund Freud. Il pensait que tous les rêves sont, dans un certain sens, des « rêves de commodité », qu’« au lieu de réagir à une influence externe, psychique ou somatique par l’éveil, ils ne servent qu’à prolonger le sommeil ».

Freud affirmait également qu'ils avaient la faculté de minimiser et de camoufler les impulsions d’origine sexuelle. En ce sens les rêves étaient les gardiens du sommeil contre les pulsions brutes. Mais on sait que le père de la psychiatrie moderne avait un certain penchant, comme hypnotique, pour tout ce qui concernait le sexe. Il rapportait systématiquement tout au sexe, tel un obsédé pervers. Donc, ne nous attardons pas exagérément sur ces idées maniaques et revenons à la réalité.


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