La religion du peuple

La religion du peuple
La sorcellerie était autrefois la religion du peuple et dans certaines familles la pratique de la sorcellerie était héréditaire. Il n’est pas nécessaire d’être le septième enfant d’un septième enfant pour être un sorcier et les pratiques ont réussi à perdurer dans la clandestinité. Si pendant des siècles il fallait vivre caché, la sorcellerie a réussi à survivre tant bien que mal jusqu’au XXe siècle dans les régions éloignées. Les dernières lois furent enfin abrogées et depuis une soixantaine d’années on voit resurgir des pratiques, que l’ont pourrait qualifier de moyenâgeuses, mais qui font pourtant de plus en plus d’adeptes.
 

La religion de la nature, la wicca

Religion de la nature
L’Ancienne religion de la nature reprend vie alors qu’on la croyait totalement disparue. La Wicca est pratiquée maintenant de partout dans le monde.

Tout le monde ne cherchant pas forcément à devenir un sorcier pratiquant, beaucoup sont attirés par la wicca et les néo-religions par désaveu des religions traditionnelles et pour trouver l’espoir dans une relation avec le Divin qui était pratiquée dans une époque lointaine mais qui a sans doute était le quotidien du peuple pendant une durée beaucoup longue que les religions modernes l’ont été.

La wicca permet de renouer avec la nature et l’environnement. On y rencontre parfois des pratiques véganes qui peuvent se développer à l’intérieur de la religion ou totalement séparément. C’est à la mode en ce moment. Ça donne aux gens l’illusion qu’ils font quelque chose de bien pour la planète.

Une économie parallèle de la sorcellerie

Sur Internet on rencontre de plus en plus de gens qui recherchent d’anciens grimoires ou quelques sorts de magie blanche dans le but d’améliorer leur vie. On voit dans le même temps fleurir une multitude de sites plus ou moins bidons pour profiter de cette économie parallèle de la voyance et de la magie. Mais rare sont ceux vraiment digne d’intérêt. Beaucoup ne sont là que pour essayer de vendre du vent en profitant du malheur des gens. Il faut vous méfier de ces sites qui vous demandent de l’argent pour obtenir un sort qui fonctionne à tous les coups ou de ces praticiens qui demandent une fortune pour lire dans une boule de cristal.

Cependant, certains contiennent de l’information factuelle et valable vieille de millénaires et susceptible d’être vraiment utile à tous ceux qui sont en quête de savoir ou tout simplement à la recherche de leur voie.

Le folklore et les légendes

Beaucoup de sites mélangent légendes, folklore, vraie magie, croyances et superstitions. C’est normal car tout cela constitue un tout. Depuis toujours les recettes magiques sont passées dans le folklore à travers des légendes orales qui étaient racontées au peuple et qui remontaient aux temps les plus reculés. Mais ces légendes, avant d’être mises par écrit, avaient bien pour origine des faits réels qui relevaient de la magie et qui se sont perdus dans les méandres du temps. Il est souvent très difficile de remonter à l’origine d’une légende mais on peut difficilement croire qu’elles proviennent de la simple imagination d’un être humain. Toutes les superstitions, et même les peurs, proviennent de ce qui était la réalité à une époque.

Toute personne désireuse de s’adonner à la sorcellerie ne doit pas le faire sans avoir pris connaissance de toutes les légendes accumulées au cours de l’histoire. Ce serait dangereux de pratiquer et de manier des forces brutes sans avoir une idée minimum de ce à quoi on s’attend. L’étude et l’apprentissage de la sorcellerie de manière autodidacte est un chemin très long et jonché d’obstacles. Les étudiants en sorcellerie le font trop souvent en solitaire, pour se cacher des autres. Mais ce n’est pas la meilleure solution. Joindre un coven de sorcières est la méthode la plus sûre et celle qui est préconisée pour apprendre rapidement les bases essentielles de la sorcellerie tout en se protégeant des dangers de cette dernière ; dangers auxquels on ne pense pas forcément quand on est seul sans personne pour nous guider et nous conseiller.

Le guide spirituel

On peut aussi apprendre la magie avec un mentor, un guide spirituel. Si on ne souhaite pas rejoindre un groupe, avec toutes les contraintes que cela suppose (devoir assister à des réunions planifiées à dates fixes, respecter un calendrier, etc.), le guide est une excellente alternative. Il suffit de trouver le bon guide.

Dans cette recherche les gens se tournent plus facilement vers des magnétiseurs ou autres faiseurs de secrets désireux de transmettre leurs connaissances à un apprenti. Le guide n’est pas uniquement spirituel mais c’est aussi un maître pour ce qui concerne la pratique.

Quand on apprend la magie avec l’instruction d’un guide, on ne peut plus parler de religion et c’est bel et bien un apprentissage axé sur la pratique dont il est question : on cherche à devenir sorcier.


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