La CIA « salivait » en observant la recherche soviétique

Place Rouge - Moscou
Le chroniqueur Jack Anderson écrivait le 20 mars 1981 :

Qui peut avoir besoin d’une taupe au Kremlin alors q’un médium assis à un bureau à Washington pourrait zoomer mentalement sur un site soviétique ultra-secret de missiles ou dans une réunion du Politburo ? 


Selon Anderson et un de ses enquêteurs, Ron McRae, il y a des gens au Pentagone qui prennent vraiment ça au sérieux. Ils émettent l'idée qu'il existe un corps d'armée spécial « psychologique », alimenté d’un budget annuel de 6 millions de dollars, établi dans les sous-sols du Pentagone, et que la National Security Agency examinait l’emploi de la PES dans leur travail de décodage.

Anderson parle dans son article de « projets loufoques » qui camouflaient des « armements psychiques » capables de laver les cerveaux, de frapper d’incapacité les leaders ennemis par transfert de la pensée, d’amorcer des bombes atomiques instantanément à milliers de kilomètres de distance par l’énergie psychique, ou même de créer une « distorsion du temps » protectrice provoquant l’explosion de missiles menaçant dans le passé. Il ajoutait que :

La CIA, pourtant historiquement moins alarmiste face au « péril rouge » que les sbires du Pentagone, a observé les recherches soviétiques sur le psychisme, et a évalué comme possible l’existence d’armement psychique. 


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