Le nouveau transfert biophysique de l’information

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La CIA avait sûrement de bonnes raisons de garder un œil sur la recherche soviétique. Un rapport sur la parapsychologie soviétique (daté du 14 janvier 1976), commandité par la CIA auprès de la AiResearch Manufacturing Company  de Torrance en Californie, nous apprend pas mal de choses. Les experts de ce groupe de recherche suggéraient que, vues les études soviétiques, le gouvernement américain devrait initier quelques développements dans ce qu’ils appelaient « Nouveau Transfert Biophysique de l’Information » (NTBI) dont les mécanismes sont effectifs bien qu'ils pourraient n’avoir aucun lien avec la parapsychologie habituelle.


Le rapport mentionne que le professeur Gennady Sergeyev de Léningrad semble avoir perfectionné un appareil capable de mesurer le fonctionnement d’un cerveau humain à une distance de cinq mètres. Il y est observé que l’instrument de Sergeyev fut classifié secret et « qu’aucune description crédible n’en est disponible, seules quelques allusions à son existence ». Le rapport AiResearch cite des références à l’appareil de Sergeyev retrouvées dans la littérature scientifique soviétique. Tout en faisant remarquer « qu’il y a des raisons de douter de l’invention russe ». Malgré tout, le rapport admet qu'il est possible qu’un capteur sensible à l’électricité ou au magnétisme, ou les deux, puisse détecter les signaux émis par le corps humain à une distance de cinq mètres. L'instrument pourrait produire des informations intéressantes pour les interrogatoires de police, telles que la force et la fréquence du rythme cardiaque, la tension des muscles, la profondeur et la fréquence du rythme respiratoire, et peut-être les propriétés électriques de la peau. Les emplois auxquels pourraient être affecté cet instrument donnent suffisamment de raisons au secret officiel appliqué à ses principes opérationnels.


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