
La main d'œuvre bakongo
Cuba avait besoin de main d’œuvre pour travailler dans les plantations. Cette main d’œuvre était à l’origine constituée d’esclaves de la métropole envoyés sur l’île. On les appelait des Ladinos. Mais, connaissant parfaitement la langue espagnole, il leur était bien plus facile de s’évader.Pour établir une barrière linguistique on commença alors à faire venir des esclaves bakongo qui ne parlaient que les langues bantoues. Ils étaient de plus dotés d’une grande force physique parfaitement adaptée aux durs travaux des plantations de canne à sucre. C’est ainsi que les bakongo apportèrent avec eux leurs traditions et leur religion, ce qui devint la Réglas del Congo, autrement dit le Palo.
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