Hypothèse 2 : Le nouveau coronavirus a été créé par l'homme, génétiquement modifié en tant qu'arme biologique. L'hypothèse de la méchanceté humaine. Mais pourquoi la Chine voudrait-elle du mal à quelqu'un ?
Hypothèse 3 : Le nouveau coronavirus a été créé par l'homme par manipulation génétique dans le but d'applications sanitaires ou pour chercher le vaccin contre le SIDA. L'hypothèse de la bonté humaine. Tout partait d'un bon sentiment. Cette hypothèse est appuyée par un prix Nobel, Luc Montagnier, co-découvreur du VIH.
Hypothèse 4 : Le nouveau coronavirus est un virus naturel étudié en laboratoire, dont il a été libéré accidentellement (ou délibérément). L'erreur humaine. On attend toujours les excuses.
Hypothèse 5 : Le virus vient de l'espace par panspermie et il a été apporté par une météorite qui s'est écrasée en Chine au mois d'octobre. Cette hypothèse est appuyée par un prix Nobel, Francis Crick, co-découvreur de l'ADN.
Hypothèse 6 : Le virus n'est pas un virus chinois. Il a été apporté par les Italiens l'automne dernier ou les Américains l'année dernière lors des Jeux militaires de Wuhan. C'est un complot contre la Chine. Le journal Le Monde en a fait un article. Le Temps aussi. Et France Info en parle.
Hypothèse 7 : Le virus est une mutation causée par la 5G.
Hypothèse 8 : Le virus est un chemtrail qui a été pulvérisé en haute atmosphère. Que sont les chemtrails ?
Hypothèse 9 : Le virus est un virus très ancien qui existait sur terre il y a des millions d'année et qui était resté enfouis dans le sol jusqu'à ce qu'on le ramène à la surface en faisant des terrassements quelque part. C'est peut-être le virus qui a tué tous les dinosaures.
Hypothèse 10 : La seconde lune en orbite actuellement autour de la terre aurait pu faire naitre le coronavirus. Si c'est vrai il s'en ira subitement au printemps quand ce second satellite quittera l'orbite de la terre.
Hypothèse 11 : Selon le Paradoxe de Fermi, ce virus a été envoyé sur terre par les extra-terrestres pour nous éradiquer.
On en est où dans les recherches ? Ça avance ?
Vous avez d'autres explications ?
A Higher Form of Killing
A Higher Form of Killing par Robert Harris et Jeremy Paxman est un ajout important au très petit nombre de comptes rendus écrits disponibles au public sur le sujet de la guerre chimique et biologique.
Il présente un récit étonnant des Britanno-Américains. Le développement et la production de bombes à charbon, pendant la Seconde Guerre mondiale, sur l'insistance de Churchill, pour une utilisation possible contre les centres de population allemands.
Désormais éclipsées par les armes nucléaires, les armes germinales ont été interdites par la Convention de 1972 sur la guerre biologique et, même avant cela, en 1969, ces armes biologiques et à toxines ont été unilatéralement et inconditionnellement renoncées par les États-Unis. Mais les armes à gaz toxique n'ont pas été interdites. Les négociations américano-soviétiques à cet effet ont été suspendues par l'administration, en partie en raison de doutes sérieux mais non prouvés quant au respect par les Soviétiques des contraintes existantes sur les armes biologiques et chimiques et la guerre.
Dans le même temps, sans aucune analyse du Congrès ou du public sur les véritables problèmes militaires et politiques, les États-Unis se lancent dans un programme de plusieurs milliards de dollars pour produire une nouvelle génération d'artillerie à gaz neurologique, d'obus, de bombes, de roquettes et des ogives de missiles, ce qui a suscité beaucoup de controverse parmi les alliés de l'OTAN.
Dans ce contexte, la grande valeur et importance du livre de Paxman et Harris est un guide fiable pour l'histoire passée et les développements futurs possibles dans cet aspect peu connu et mal compris mais peut-être capital de la course aux armements biochimiques.
Vous devriez le lire pour comprendre toute l'importance de posséder des laboratoires de sécurité de niveau 4 tel que celui de Wuhan. Il s'est passé des choses qu'on ne sait pas...
Il présente un récit étonnant des Britanno-Américains. Le développement et la production de bombes à charbon, pendant la Seconde Guerre mondiale, sur l'insistance de Churchill, pour une utilisation possible contre les centres de population allemands.
Désormais éclipsées par les armes nucléaires, les armes germinales ont été interdites par la Convention de 1972 sur la guerre biologique et, même avant cela, en 1969, ces armes biologiques et à toxines ont été unilatéralement et inconditionnellement renoncées par les États-Unis. Mais les armes à gaz toxique n'ont pas été interdites. Les négociations américano-soviétiques à cet effet ont été suspendues par l'administration, en partie en raison de doutes sérieux mais non prouvés quant au respect par les Soviétiques des contraintes existantes sur les armes biologiques et chimiques et la guerre.
Dans le même temps, sans aucune analyse du Congrès ou du public sur les véritables problèmes militaires et politiques, les États-Unis se lancent dans un programme de plusieurs milliards de dollars pour produire une nouvelle génération d'artillerie à gaz neurologique, d'obus, de bombes, de roquettes et des ogives de missiles, ce qui a suscité beaucoup de controverse parmi les alliés de l'OTAN.
Dans ce contexte, la grande valeur et importance du livre de Paxman et Harris est un guide fiable pour l'histoire passée et les développements futurs possibles dans cet aspect peu connu et mal compris mais peut-être capital de la course aux armements biochimiques.
Vous devriez le lire pour comprendre toute l'importance de posséder des laboratoires de sécurité de niveau 4 tel que celui de Wuhan. Il s'est passé des choses qu'on ne sait pas...
