Le musée historique du Louvre, à Paris, abrite peut-être le texte juridique le plus important du monde antique. Cette stèle représente le dieu babylonien Shamash qui parle au roi Hammurabi et, au-dessous d’eux, gravées dans un texte cunéiforme, sont inscrites les lois qu’ils ont données à leur peuple. C'est ce qu'on appelle le code de Hammurabi.
Hammurabi, sans aucun doute, était l’un des grands génies du monde antique et, bien sûr, il est célèbre non seulement pour être le dirigeant de la Babylone antique, mais pour avoir élaboré le Code de Hammurabi, qui était le premier enregistrement légal écrit.
C'est un document primitif, comparé à ce que nous avons maintenant, mais il avait tout un système d'ordre et comment les taxes étaient perçues et divers principes civils et la fameuse punition œil pour œil, qui a été modifiée au fil des ans, mais il avait un véritable système juridique.
Hammurabi, sans aucun doute, était l’un des grands génies du monde antique et, bien sûr, il est célèbre non seulement pour être le dirigeant de la Babylone antique, mais pour avoir élaboré le Code de Hammurabi, qui était le premier enregistrement légal écrit.
C'est un document primitif, comparé à ce que nous avons maintenant, mais il avait tout un système d'ordre et comment les taxes étaient perçues et divers principes civils et la fameuse punition œil pour œil, qui a été modifiée au fil des ans, mais il avait un véritable système juridique.
Le premier législateur de l'histoire
Une tablette du Code d'Hammurabi
Hammurabi a statué sur une civilisation avancée qui avait des lois écrites portant sur les taxes, les salaires, les travaux publics et même le commerce international. Découvert en 1902, le code de Hammurabi, écrit en pierre, se trouve maintenant au musée du Louvre à Paris.
Tout est réglementé : l'entretien des canaux, les rapports de propriété, les contrats de travail, les dettes (le débiteur insolvable doit travailler pour le créancier, et peut même donner sa femme en gage), la fabrication de boissons, les échanges commerciaux. La loi du talion sanctionne injure, blessures, meurtres, avec des peines variant selon la hiérarchie sociale. Mais la barbarie des punitions ne doit pas nous empêcher d'apprécier le soin avec lequel la vie et la propriété sont protégées, comme en témoignent ces dispositions extraites des deux cent quatre-vingt-deux paragraphes du code :
Quand un homme accuse un autre de meurtre sans pouvoir le prouver, l'accusateur doit être tué. Si un homme pénètre par effraction dans une maison, il sera tué et incinéré devant le lieu de son effraction. Quand un esclave donne une gifle au fils d'un homme libre, on doit lui couper l'oreille.
Un architecte pouvait payer de sa vie l'effondrement d'une maison, et si le fils du propriétaire était tué par les décombres, le fils de l'architecte était mis à mort. L'adultère comme la dissipation des biens étaient punis de mort par le pal, le feu, ou la noyade. Les amendes et les transactions étaient réglées en mesures d'orge, de blé, ou en lingots métalliques (or, argent, cuivre).
Un code dicté par le dieu babylonien Shamash
Le code de Hammurabi commence par un prologue dans lequel le roi se vante de ses grandes actions, mais il écrit également que le code lui-même lui a été dicté par le dieu babylonien Shamash. Le grand roi Hammourabi est entré en transe et Dieu a commencé à dicter ce document incroyable et à le transmettre au grand roi Hammourabi, qui le parlait d'une voix très différente de la sienne et d'une langue différente de la sienne. Tout vient de Dieu. Et quand Hammurabi se réveille de sa transe, les scribes le lui relisent, et il n'a aucun souvenir de l'avoir dicté. Tout venait de Dieu et c'est brillant.
Une partie importante est que Hammurabi n'a pas revendiqué la qualité d'auteur. Il savait que cela n'était pas de sa création, de son intelligence.
Le système de droit qui découle du Code de Hammurabi est tellement inhérent à la compréhension morale fondamentale de la façon de gérer une société qu’une grande partie de celui-ci est encore préservée sous une forme ou une autre dans notre système juridique moderne. Cela suggère que le code de Hammurabi provient d'un point d'origine très avancé.
L'histoire du Code de Hammurabi n'est pas unique. Dans le monde antique, on disait souvent que des instants de génie, y compris des croyances religieuses de base et des principes scientifiques, de la Grèce à Rome en passant par l'Inde et la Chine, avaient été inspirés par des voix divines. Pensez-y : Moïse, Abraham, Noé, les prophètes, Jésus. Un grand nombre de lois, de règles, de coutumes et de traditions que nous avons sont fondées sur des individus prétendant avoir été mis au courant par une divinité.
Et ce n'est pas seulement la tradition judéo-chrétienne. Je dirais que dans toutes les cultures, il existe de nombreuses lois qui sont essentiellement attribuées à des personnes prétendant avoir appris quelque chose d'un être qui n'est pas de ce monde.
Une partie importante est que Hammurabi n'a pas revendiqué la qualité d'auteur. Il savait que cela n'était pas de sa création, de son intelligence.
Le système de droit qui découle du Code de Hammurabi est tellement inhérent à la compréhension morale fondamentale de la façon de gérer une société qu’une grande partie de celui-ci est encore préservée sous une forme ou une autre dans notre système juridique moderne. Cela suggère que le code de Hammurabi provient d'un point d'origine très avancé.
L'histoire du Code de Hammurabi n'est pas unique. Dans le monde antique, on disait souvent que des instants de génie, y compris des croyances religieuses de base et des principes scientifiques, de la Grèce à Rome en passant par l'Inde et la Chine, avaient été inspirés par des voix divines. Pensez-y : Moïse, Abraham, Noé, les prophètes, Jésus. Un grand nombre de lois, de règles, de coutumes et de traditions que nous avons sont fondées sur des individus prétendant avoir été mis au courant par une divinité.
Et ce n'est pas seulement la tradition judéo-chrétienne. Je dirais que dans toutes les cultures, il existe de nombreuses lois qui sont essentiellement attribuées à des personnes prétendant avoir appris quelque chose d'un être qui n'est pas de ce monde.
