Puis l'engin se pose et
Ezéchiel continue de décrire ce qu'il voit :
« ... je vis à terre, à côté de chacun des quatre êtres, une roue ». Etait-ce le train d'atterrissage ? Mais si les roues sont bien semblables, c'est-à-dire identiques dans leurs formes et dans leurs dimensions : elles
« .. paraissaient ainsi construites, que l'une se trouvait engagée dans l'autre ». On lit dans la traduction de
Dhorme que chaque roue est
«... au milieu de l'autre ».
Ezéchiel précise enfin que les roues sont gigantesques et qu'elles inspirent la crainte et qu'elles sont entourées d'yeux sur toute la circonférence.
Mais il y avait également quelque chose qui ferait penser à un
moteur ou un réacteur :
« Au milieu de ces êtres, on apercevait quelque chose ressemblant à des braises incandescentes, comme des torches circulant entre eux ; et de ce feu qui projetait un éclat éblouissant, jaillissaient des éclairs ».
Venons-en à la partie médiane qui coiffe le premier étage :
« Dominant la tête de ces êtres, il y avait quelque chose qui ressemblait à une voûte limpide comme le cristal, tendue au-dessus de leurs têtes » (verset 22). Il s'agit en fait d'une sorte de dôme transparent qu'il essaye de nous décrire. Bref, c'est le pare-brise de l'habitacle, comme ceux que l'on trouve au dessus de la tête des pilotes de chasse ou les dômes de verre qui surplombent les
soucoupes volantes et permettant aux pilotes de voir où ils vont.