A l'époque, les lois permettaient la persécution des sorcières. Des exécutions ont été prononcées. Il suffisait qu'une personne porte plainte contre quelqu'un d'autre en prétextant que cette dernière avait utilisé la sorcellerie pour lui infliger des dommages et de la douleur. Si la plainte était jugée recevable, la sorcière présumée était arrêtée et on cherchait à obtenir d'elle les aveux de son crime par la torture. Ceci se passait en public. Les spectateurs pouvaient interroger et arbitrer l'exécution de la personne. Une fois reconnue coupable, la sorcière était condamnée à mort. Si elle n'avouait pas, la loi pouvait la condamner à la lapidation ; ce qui revient un peu au même.
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