L'invocation

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Récitez ensuite l’invocation suivante :

Trois femmes se tiennent au-dessus d’une falaise. L’une d’elles dit [dire le nom du malade et le nom de sa mère] est malade. Une autre dit, un tel n’est pas malade. La troisième dit : un tel n’est pas malade et ne le sera jamais.

Si un homme lui a causé ceci, que ses cheveux tombent, ainsi que sa barbe et ses sourcils. Si une femme lui a causé cela que ses cheveux tombent, ainsi que ses seins et ses sourcils.


Elie le prophète alla vers la démone Lilith et de ceux qui lui sont soumis. Il lui demanda : Que fais-tu ? Elle dit : je vais à la maison de [dire le nom du malade ainsi que celui de sa mère] afin de le frapper du mauvais oeil.

Il lui dit alors :

Je te conjure toi et tous tes serviteurs au nom d’EL SHADDAI et aux Noms des Sept Cieux, des Sept Sphères, des Sept Etoiles et des Sept Constellations que tu ne fasses aucun mal à [prononcez le nom du malade et celui de sa mère] et à aucun de ses 248 organes ou 365 tendons. N’entre pas dans sa maison, toi et tes serviteurs, ni aujourd’hui ni jamais.

Comme la mer n’a pas de course et comme un poisson n’a pas de rein et comme une fourmi n’a d’os, tu ne feras pas tomber le mal sur [dire le nom du patient et le nom de sa mère] car il est de la graine de Joseph sur la tête de qui aucun mal ne peut tomber : « Un charmant fils est Joseph, un charmant fils à l’oeil ».

Terminer l'incantation par les Psaumes 90-17 à 91-12 :

Que la grâce de l’Eternel, notre Dieu, soit sur nous ! Affermis l’ouvrage de nos mains, Oui, affermis l’ouvrage de nos mains ! Celui qui demeure sous l’abri du Très-Haut Repose à l’ombre du Tout Puissant. Je dis à l’Eternel : Mon refuge et ma forteresse, Mon Dieu en qui je me confie ! Car c’est lui qui te délivre du filet de l’oiseleur, De la peste et de ses ravages. Il te couvrira de ses plumes, Et tu trouveras un refuge sous ses ailes ; Sa fidélité est un bouclier et une cuirasse. Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, Ni la flèche qui vole de jour, Ni la peste qui marche dans les ténèbres, Ni la contagion qui frappe en plein midi. Que mille tombent à ton côté, Et dix mille à ta droite, Tu ne seras pas atteint ; De tes yeux seulement tu regarderas, Et tu verras la rétribution des méchants. Car tu es mon refuge, ô Eternel ! Tu fais du Très-Haut ta retraite. Aucun malheur ne t’arrivera, Aucun fléau n’approchera de ta tente. Car il ordonnera à ses anges De te garder dans toutes tes voies ; Ils te porteront sur les mains, De peur que ton pied ne heurte contre une pierre. 

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