Cette pauvre Marie Bonaparte, patiente et fervente admiratrice de Freud devenue elle-même plus tard analyste, ira jusqu'à se faire opérer deux fois pour tenter de rapprocher chirurgicalement son clitoris de son vagin afin d'en capter les ondes orgasmiques de façon plus « mature ». On ne peut que s'affliger d'une telle ânerie et d'un tel massacre du clitoris et on ne saurait que trop lui recommander plus simplement la lecture de l'ouvrage d'une jeune personne avisée, Ovidie, sur le point G. Dommage, Marie Bonaparte, malgré toute sa science, ne pouvait matériellement, à l'époque, rencontrer Ovidie...
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