Le Grand « Reset »

La Grande Réinitialisation
Depuis son entrée sur la scène mondiale, le COVID-19 a radicalement bouleversé le scénario existant sur la façon de gouverner les pays. Il inaugure le totalitarisme sanitaire, avec des restrictions des libertés fondamentales. Il ouvre la porte à une dictature massive et à l'oppression des peuples. Il accélère la mise en place du programme macabre purement mondialiste basé exclusivement sur le système financier et les profits. Nous assistons à une totale remise en cause de la façon de vivre avec les autres et de participer à l'économie mondiale et même à une réinitialisation complète du système financier mondial agonisant. C'est ce que certains appellent le Great Reset, c'est à dire la Grande Réinitialisation.

Cette crise globale nous entraine sur les chemins austères et semés d'embûches du monde de demain où plus rien ne sera comme dans le monde d'avant. Nous entrons dans l'univers de la promotion de la peur orchestrée par les médias sous l'égide des classes dirigeantes pensant tout d'abord à leurs intérêts propres avant l'intérêt du peuple.


Cet article est destiné à vous ouvrir les yeux sur ce à quoi le monde post-pandémique pourrait ressembler. En ce début juin 2021 nous sommes à la croisée des chemins. Nous ne pourrons certainement pas revenir au monde d'avant mais la route qui se dessine devant nous n'est pas encore complètement tracée car c'est avant tout à nous de choisir comment nous voulons qu'elle soit. Et pour faire ce choix décisif, plusieurs options s'offrent à nous, dont certaines sont des manipulations qu'ils tentent de nous imposer par un biais détourné. Si nous n'y prêtons pas attention des projets de vaccination forcée vont rapidement voir le jour et il ne sera plus possible de reculer. C'est carrément la déclaration universelle des droits de l'homme qui est en train d'être réécrite par la main de vils personnages sans scrupule.
 

La grande réinitialisation

Klaus Schwab
Le livre « COVID-19 : La Grande réinitialisation  » de Klaus Schwab et Thierry Malleret commence dès la première page par cette tromperie qui se veut alléchante pour beaucoup :

Une seule voie nous mènera vers un monde meilleur : plus inclusif, plus équitable et plus respectueux de Mère Nature.  

Eh bien non. Ne vous laissez pas manipuler par cette simple petite phrase destinée à poser le décors. Il n'existe pas qu'une seule voie. Il en existe beaucoup. Et le principe de la démocratie consiste à choisir tous ensembles la meilleure voie possible alors que les fondements d'une dictature consistent à tous écouter la voix unique que personne n'a le droit de contredire. C'est le monde de la pensée unique. La phrase se termine par des choses qui pourraient vous paraître agréables (l'inclusion, l'équité et l'écologie), mais détrompez-vous, il n'en est rien. Le mot équitable fait référence à l'économie, donc au profit, et nullement à l'égalité telle que nous l'entendons avec la célèbre devise de la France : « Liberté, Égalité, Fraternité ». Il en va de même pour le mot « inclusif » qui n'est pas du tout synonyme de « fraternel ». Inclusif signifie que nous sommes inclus dans un groupe soumis, que nous sommes tous des esclaves, des codes-barres, des pions sur un grand échiquier mondialiste. Il reste alors cette référence à l'écologie très en vogue ces dernières années. Tout le monde se tourne en effet vers le « bio ». Il faut donc satisfaire l'aspiration de la majorité des gens en plaçant un mot qui a un rapport avec la nature et la vague écologiste de 2020. Tout le monde est donc apaisé et l'esprit du lecteur est à ce moment là grand ouvert pour se laisser hameçonner et manipuler à souhait ; toutes les barrières sont tombées et la garde a été baissée pour ceux qui n'ont pas l'esprit suffisamment critique pour déceler ce genre de tentative grossière de manipulation psychologique.

Ma compréhension personnelle de cette phrase est qu'il s'agit d'une réécriture de la devise de la France de la façon suivante : « inclusion, équité et naturel », ce qui en d'autres termes signifie : « esclavage, travail, bio ». Notez bien que le mot « égalité » a été remplacé par une référence économique et que le mot « Liberté » a totalement disparu. Ce serait donc ça la prétendue seule voie unique pour le monde de demain : qu'on soit tous des esclaves soumis destinés à produire pour une économie « bio » appartenant aux grands groupes industriels d'aujourd'hui. Personnellement je préférais « Liberté, Égalité, Fraternité ».
 

La crise du coronavirus

La crise du coronavirus
La crise actuelle est d’une ampleur sans précédent qui n'a pas d'équivalent dans l'histoire moderne. Son programme central semble être l’imposition massive de restrictions aux libertés fondamentales qui nous remémore les moments les plus difficiles que nous ayons connus depuis des générations, je veux bien entendu parler de l'occupation de la France par les nazis. Certains, je n'en doute pas, en profiteront pour m'accuser d’hyperbole. Mais qu'ils me citent alors quels sont les moments plus difficiles que nous avons vécus. La crise des subprimes (créances hypothécaires) ? Le 11 septembre ? Mai 68 ? La Guerre d'Algérie ? La Grande Dépression qui a commencé en 1929 ? Était-ce vraiment aussi grave que ce que nous traversons aujourd'hui ? Des secteurs entiers de l’économie mondiale ont été ruiné, peut-être à dessein (l'aérien, le tourisme, la restauration, la fête, la culture, etc.). Aucune industrie ou entreprise ne sera épargnée par l'impact de ces changements qui auront des retombées pendant des années. Sur le plan individuel, pour beaucoup, la vie vacille à une vitesse alarmante. Les plus faibles se suicident ou souffrent de problèmes psychologiques soignés à coups d'antidépresseurs. Beaucoup d'entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. Pour faire court, la réponse est : J A M A I S.

Cette crise a en effet préparé le terrain pour l’acceptation de « mesures extraordinaires » irréversibles. La loi du 23 mars 2020 accordant les pleins pouvoirs à macron n'est pas sans rappeler la loi du 24 mars 1933 qui donna à Adolf Hitler le droit de gouverner par décret, c'est-à-dire de signer des ordonnances à portée législative sans aucune procédure parlementaire. N'est-ce pas exactement la même chose que nous avons en France depuis plus d'un an ? C'était censé faire face à l'urgence de l'arrivée de l'épidémie dans notre pays mais il y a belle lurette que cette urgence n'est plus de mise et pourtant la loi d'urgence sanitaire est renouvelée à n'en plus finir... jusqu'au 30 septembre 2021 à présent... puis jusqu'en 2022... Vous n'avez pas encore compris la « manip » ? Et pendant ce temps le chef suprême peut prendre les décisions qu'il veut pour former une « nouvelle normalité » radicalement différente de celle que nous avons été contraints d'abandonner du jour au lendemain ce fameux lundi 17 mars 2020 à midi [entrée en vigueur officielle du premier confinement national].

C'était une aubaine pour tous ces gouvernants mondialistes qui visent en secret une ré-ingénierie du monde menée par une élite de puissances supranationales dans le seul but de créer un gouvernement mondial. Mais leurs projets ne s'arrêteront pas là. Nous en arrivons au moment où il est opportun de les citer :
- l'entrée insidieuse de la technologie dans nos vies pour nous tracer, nous surveiller, nous contrôler
- le remplacement des nations par des formes de gouvernances supranationales telles que l'U.E.
- un processus massif de réduction de la population
- le contrôle total des médias
- avoir le pouvoir de vie et de mort sur les individus grâce à la pharmacopée appelée à présent du nom générique de « big-pharma »
- et bien qu'autres encore que nous n'osons même pas imaginer
 

L'événement déclencheur

Alors que nous, gens du peuple, nous parlons de Great Reset, de Grande Réinitialisation, pour eux [les mondialistes] c'était plus spécialement le moment d'appuyer sur le bouton « Start ». Ils semblaient n'attendre que ça et l'irruption de cette épidémie au fin fond de la Chine a été pour eux un véritable bonheur ; d'ailleurs certains en parlent comme d'un événement aux proportions « bibliques ». C'était pour eux du pain béni.

Les pièces avaient déjà été mises en place depuis des années ; on les appellera des agents dormants. Il s'agit par exemple de l’Organisation Mondiale de la Santé, mais il en existe d'autres. L’OMS est largement perçue par le commun des mortels comme un genre d'organisme scientifique plein de sagesse qui se consacre à la promotion de la santé sous toutes ses formes. Elle serait comme une référence obligatoire lorsqu’il s’agit de prendre des décisions en matière de santé mondiale. Mais l'OMS n'est en réalité qu'une agence de l'ONU qui est en majorité financée par des laboratoires pharmaceutiques et de faux philanthropes tel que le milliardaire Bill Gates. Et bien entendu, ceux qui financent entendent bien recevoir un retour sur investissement.

La tasse à gougoutte
Et voici ce que la planète pouvait découvrir avec stupéfaction le 23 janvier 2020 en lisant les journaux : une épidémie impliquant un nouveau coronavirus est actuellement en cours dans la ville chinoise de Wuhan, provoquant une maladie pseudo-grippale chez plus de 1 354 personnes, avec au moins 41 décès rapportés. La nature virulente de la maladie a incité les autorités chinoises à suspendre les transports publics à destination et en provenance de Wuhan, une ville de 11 millions d'habitants, les villes voisines devant être placées sous une quarantaine similaire d'ici le 24 janvier.

Initialement identifié comme un nouveau virus à la mi-décembre 2019, ce coronavirus, appelé 2019-nCoV, a une structure génétique qui présente une similitude de 70% avec le coronavirus SARS-CoV qui a tué 774 personnes dans 37 pays en 2003. Bien que la majorité des cas se soient produits en Chine continentale, il y a eu une poignée d'infections signalées en Thaïlande, en Corée du Sud, au Japon, à Taiwan, à Macao et à Hong Kong, y compris un cas aux États-Unis où un homme revenant d'un voyage à Wuhan a été hospitalisé après avoir exposé des symptômes de la maladie. Il serait maintenant en bonne santé mais les autorités recherchent actuellement des signes de nCoV 2019 dans les principaux aéroports internationaux des États-Unis.

Les symptômes causés par ce coronavirus – ainsi appelé en raison de sa ressemblance avec une couronne solaire vue au microscope – sont de nature grippale, y compris de la fièvre, de la fatigue et une toux sèche, avec un essoufflement se produisant dans 20 pour cent des cas et une détresse respiratoire dans 15 pour cent ; ceux dont le système immunitaire est affaibli sont les plus susceptibles de complications plus graves, comme l'apparition d'une pneumonie. Le virus a été initialement identifié comme un nouveau pathogène lorsqu'un groupe de cas de pneumonie de cause inconnue s'est produit parmi des personnes liées au marché des fruits de mer de Huanan à Wuhan à la mi-décembre. Le premier cas d'infection interhumaine a été confirmé le 21 janvier.

Certaines autorités croient que le coronavirus, une classe de virus qui infecte généralement le bétail et les oiseaux, mais rarement les humains, est originaire des chauves-souris et a fait le saut vers les serpents venimeux qui étaient vendus comme viande de brousse sur le marché des fruits de mer de Huanan avant de muter en une souche qui pourrait infecter les humains, bien que l'on ignore actuellement comment le virus pourrait avoir fait le saut entre les espèces à sang froid et à sang chaud.

Les efforts de quarantaine sont entravés par la saison du Nouvel An chinois, alors que des centaines de millions de personnes voyagent à travers la Chine et l'Asie pour ces vacances importantes. En plus des restrictions de voyage à l'intérieur et à l'extérieur de Wuhan, une plaque tournante du voyage dans le centre de la Chine, les habitants de la ville sont tenus de porter des masques faciaux lorsqu'ils sont en public, car les responsables de la santé du gouvernement prennent des mesures pour endiguer la propagation de la nCoV 2019.

Les autorités de haut niveau de Pékin ont également averti les responsables de niveau inférieur de ne pas dissimuler la propagation du virus, affirmant que toute personne dissimulant de nouveaux cas « serait clouée sur le pilier de la honte pour l'éternité ». La Chine a tiré une dure leçon de l'épidémie de SRAS de 2002-2003, ayant initialement caché des informations sur l'épidémie et minimisé les risques pour la santé, accélérant ainsi la propagation de la maladie mortelle. Le président Xi Jinping a appelé à « des efforts tous azimuts » pour contrôler l'épidémie.

Heureusement, ce virus n'est pas aussi mortel que le virus du SRAS, avec seulement 2,8% des personnes infectées ayant succombé à la maladie (contre 9,8% pour le SRAS), bien que les chercheurs soulignent que le 2019-nCoV est toujours en train d'infecter les gens. Des chercheurs britanniques estiment qu'environ 4 000 personnes sont actuellement infectées, en raison de la virulence de la maladie.


MISE À JOUR: 22 h 45 HNP: Il s'agit d'une situation qui évolue rapidement, le nombre de personnes infectées / mortes ayant presque doublé au cours des 24 heures qui ont suivi la rédaction de l'article. Les autorités chinoises ont fermé 12 villes du centre du Hubei, où la maladie est concentrée, ce qui représente une population de 36 millions de personnes, soit un peu moins que la population de la Californie ou de tout le pays du Canada. Les événements majeurs des fêtes du Nouvel An ont été annulés et les résidents sont invités à rester chez eux pendant la durée de la quarantaine. Les équipes de construction se démènent pour construire un hôpital de fortune en dix jours, en utilisant des unités préfabriquées, pour traiter les patients infectés de plus en plus nombreux.

Le « Game » avait véritablement commencé pour tous les protagonistes de l'ombre qui tirent les ficelles.

Tout est basé sur un événement futur hypothétique et la médiatisation de la peur

Restez-chez-vous
La « pandémie » du coronavirus est littéralement une « invention » car elle commence par un événement futur hypothétique. En effet, l’OMS avertit les gouvernements que si des mesures de prévention extraordinaires ne sont pas prises, une crise sanitaire sans précédent pourrait alors se déclencher. C'est alors que l'on voit surgir de plus en plus de mesures autoritaires pour tenter de contenir cette pandémie annoncée. Les confinements et fermetures imposés à une grande partie du monde pour gérer la crise du COVID-19 sont une première dans l'histoire de l'humanité. Ceci n'avait encore jamais été utilisés par les dirigeants aussi loin que l'on remonte dans les siècles. Jusqu'à présent toutes les mesures instaurées dans le but de contenir une épidémie n'avaient toujours été que localisées et jamais développées à grande échelle. Les premières formes de confinement sont apparues avec les quarantaines instituées dans le but de contenir la peste noire qui, entre 1347 et 1351, a tué environ le tiers des Européens. Le mot quarantaine vient du mot quaranta qui signifie « quarante » en italien. L'idée est d'enfermer les gens pendant 40 jours et c'est l'une des premières formes de « santé publique institutionnalisée » ayant contribué à légitimer « l’accumulation du pouvoir » par l'État moderne.

OMS
Pour légitimer ces mesures liberticides sans aucun fondement scientifique, les manipulateurs utilisent alors les médias dont ils ont le contrôle. Des milliers de documents et d’articles de soi-disant « experts » dressent alors des tableaux statistiques très macabres qui sèment la panique : il pourrait y avoir des millions de morts et les systèmes de santé s’effondreraient par implosion. Les hôpitaux seraient en saturation et ne seraient plus en mesure d'accueillir les malades. Mais pour en arriver à ce cas de figure, remarquez qu'ils ont bien pris soin au préalable à détruire de l'intérieur ces mêmes systèmes de santé pendant trente ans en réduisant les budgets d'année en année.

Cette stratégie est couramment utilisée dans les opérations mondialistes. Des alertes sont lancées autour des « menaces » hypothétiques qu'il n'est pas possible de vérifier. On ne peut que faire confiance aux « modèles » mathématiques. Le débat est alors placé sous le signe des émotions et non sous celui de la raison. C'est comme cela qu'on vous fait peur au sujet du réchauffement climatique, du djihadisme, de la pollution, du cancer ou même des dangers de l'Internet. C'est dans le but de d'installer de nouvelles réglementations liberticides acceptées, voir même réclamées, par les populations. Et la propagation des maladies infectieuses a justement cette capacité unique d’alimenter la peur, l'anxiété et l'hystérie collective.

Pour mieux vous manipuler, les dirigeants utilisent des références aux choses les plus horribles qui soient, par exemple LA GUERRE. « Nous sommes en guerre » a martelé à six reprise le président macron lors de son discours du 16 mars 2020. Mais l’ennemi contre lequel nous luttons est invisible ; notre famille, nos amis et nos voisins peuvent tous devenir des sources d'infection et donc des ennemis potentiels ; ces rituels quotidiens que nous chérissons, comme retrouver un ami dans un lieu public, peuvent devenir un vecteur de transmission et alors assimilé à un acte de guerre. C'est alors que la masse qui se laisse diriger commence à penser que toutes les choses qu'on lui impose à l'encontre de ses libertés les plus fondamentales est pour son bien. Ces techniques ont aussi la fonction de diviser la société et on connait depuis des siècle l'adage « diviser pour mieux régner ». Alors que le véritable ennemi est le virus, il devient à présent votre voisin, vos collègues de bureau, votre propre famille...
 

Le conspirationnisme et la censure

Complotiste
Quand suffisamment de gens se sont fait manipuler on commence alors à instaurer la censure dans les médias qui permettaient jusqu'alors la libre expression, en particulier Internet et les réseaux sociaux. Nous n'avons plus le droit de publier des idées qui vont à l'encontre de la propagande gouvernementale. S'élever contre cette tyrannie est sévèrement sanctionné. Les gens sont immédiatement accusés de répandre des « fake-news » ou, pire encore, de « complotisme ».

Complotiste est le mot qui permet de couper court à toute discussion intelligente et raisonnée. Quand ce que dit votre interlocuteur ne vous plait pas, il suffit alors de le traiter de complotiste ou de conspirationniste pour décrédibiliser complètement ses propos et gagner l'adhésion de l'opinion public même si ce que vous avancez n'a ni queue ni tête. Plus aucun débat d'idée n'est alors possible. Vous avez gagné par KO ou plutôt par coup bas. Votre adversaire est disqualifié et ridiculisé.

Le mondialisme enterre le débat par un blocus médiatique féroce, car l’une de ses matrices fondatrices est la capture des populations au sein du réseau de contrôle social massif. Un faux bon sens s’installe selon lequel la violation des dispositions du nouveau totalitarisme de la santé est une attaque contre d’autres personnes. Les gens qui enfreignent les règles dictées sont punis d’une peine d’emprisonnement ou d’une amende. La notion de « distanciation sociale » émerge et devient bientôt la norme.

Et ne vous inquiétez pas si dans la décennie à venir il y aura de plus en plus de pandémies du type de celle du coronavirus car les médias vous ont déjà prévenu que ça allait se produire de plus en plus régulièrement. Ils le savent déjà car de nos jours il est impossible de faire du journalisme sans boule de cristal. Avez-vous noté par exemple que, quand un événement est prévu, les médias vous en parlent pendant deux jours en vous racontant tout ce qui va être dit et tout ce qui va se passer lors de cet événement alors qu'il n'a même pas encore eu lieu. C'est notamment le cas pour les discours de macron quand toute la France est déjà au courant du contenu détaillé de ce qu'il va annoncer au moment où il prend l'antenne. Bientôt les médias vont aussi vous annoncer à l'avance le prochain vainqueur de la coupe du monde de football et les numéros qui vont sortir lors du prochain tirage du loto (ah non, quand même pas ça). Par contre, une fois l'événement passé, presque plus personne ne nous informe et on a droit à seulement quelques lignes dans les journaux.

Le fait que les médias vous aient déjà prévenu que d'autres maladies émergentes vont bientôt nous tomber dessus est essentiellement pour ne pas que les gens se posent des questions quand ça va arriver et que personne ne soit étonné et commence alors à creuser pour chercher la vérité. Mais la vérité est qu'ils le savent car ces maladies sont déjà en préparation dans les laboratoires des big-pharma qui les lâcheront régulièrement pour ensuite mieux vous vendre, non pas des médicaments peu rentables, mais des vaccins. Les vaccins sont en effet beaucoup plus juteux que les médicaments car ils sont administrés à tout le monde, même aux personnes bien portantes, et il faut faire un rappel chaque année. Un médicament ne se donne qu'aux malades. Quel manque à gagner !

Les changements qui s'opèrent dans l'ordre mondial et la société

La pandémie de coronavirus accélère les changements systémiques déjà amorcés avant la crise : le déploiement de la mondialisation, la montée en puissance de la Chine, l'accélération de l'automatisation, les préoccupations relatives à la surveillance accrue, la montée du nationalisme et la crainte de l'immigration qui en découle, l'intrusion de plus en plus forte de la technologique dans notre quotidien, la nécessité pour les entreprises d'avoir une présence en ligne encore plus forte, parmi beaucoup d'autres.

De ces changements viendront des conséquences de deuxième, troisième, quatrième ordre et plus, des effets en cascade et des répercussions imprévues. L'accélération de l'automatisation aura pour conséquence l'augmentation du chômage, pour ne citer qu'un exemple.

Mais ces changements pourraient aller au-delà d'une simple accélération en modifiant des choses qui semblaient auparavant immuables et acquises. Le fait que la mondialisation et le progrès technologique aient tant progressé au cours des dernières décennies a incité certains experts à qualifier le monde actuel d’« hyperconnecté ». Ceci signifie en gros que le monde est interdépendant et que c'est un monde d’une profonde connectivité systémique, dans lequel tous les risques s'influencent mutuellement à travers un réseau d'interactions complexes. Dans un monde interdépendant, les risques s'amplifient les uns les autres dans un effet domino. De cette manière, chaque risque individuel renferme le potentiel de créer des effets de ricochet en provoquant d'autres risques qui eux mêmes vont provoquer des risques de troisième génération. C'est une réaction en chaîne, un véritable phénomène de contagion par connectivité systémique.

L'économie mondiale est si étroitement interconnectée que mettre un terme à la mondialisation est chose impossible. Ce qui est possible cependant, c’est de la ralentir et même de la faire reculer. D’après moi, c’est exactement le contraire que va entraîner la pandémie.

L'histoire montre que les épidémies ont été à l’origine des grandes avancées économiques et du tissu social des pays. Pourquoi en serait-il autrement avec le COVID-19 ? Tout simplement parce qu'un tel scénario risque désormais d'être radicalement modifié par l'essor de l'automatisation. Les répercussions macroéconomiques importantes peuvent persister pendant 40 ans, avec pour effet de faire baisser considérablement les taux de rendement réels. Avant mars 2020, jamais l'économie mondiale n'avait connu un arrêt aussi brutal et soudain ; nulle âme qui vive n'avait auparavant connu un effondrement économique aussi dramatique et drastique, tant par sa nature que par sa vitesse. Même pendant la Grande Dépression au début des années 1930 et la crise financière mondiale de 2008, il a fallu plusieurs années pour que le PIB diminue de 10 % ou plus et que le chômage dépasse 10 %.

En raison de la pandémie, l'économie fait face à une crise du marché du travail aux proportions gigantesques. En deux mois seulement, en mars et avril 2020, plus de 36 millions d'Américains ont perdu leur emploi, annulant ainsi 10 années de croissance de l’emploi. Dans les mois à venir, la situation du chômage est vouée à se détériorer davantage, pour la simple raison qu'elle ne peut pas s'améliorer de manière significative tant qu'une reprise économique durable n'est pas amorcée. Et ce n'est pas demain la veille puisqu'on a dit plus haut que les effets de la crise pourraient persister pendant 40 ans. Selon toute vraisemblance, la récession induite par la pandémie va déclencher une forte augmentation du remplacement de la main d'œuvre , ce qui signifie que le travail physique sera remplacé par des robots et des machines « intelligentes », ce qui à son tour provoquera des changements durables et structurels sur le marché du travail.

Les changements sociétaux

Crédit photo : Achraf Baznani - Photographe
Crédit photo : Achraf Baznani - Photographe
Historiquement, les pandémies ont mis les sociétés à rude épreuve. Dans le cas du Covid-19 cela pourrait conduire à des résultats extrêmes aussi graves que la désintégration sociale et sociétale. Le premier effet de la pandémie a été d’amplifier l’enjeu gargantuesque de l'injustice sociale en mettant en lumière les disparités choquantes entre les degrés de risque auxquels sont exposées les différentes classes sociales. L'un des dangers les plus profonds de l'ère post-pandémique est l'agitation sociale. Dans certains cas extrêmes, elle pourrait conduire à l'effondrement politique et même à la guerre civile. Des responsables politiques tel que Renaud Muselier, président de la Région PACA, l'ont annoncé depuis longtemps. Dès septembre 2020, Renaud Muselier disait que la population était au bord de la guerre civile et qu'il suffisait que d'une étincelle pour que tout explose. Lors des dernières élections municipales de juin 2020, 97,78% des électeurs des communes de plus de 3500 habitants ont voté contre les candidats du pouvoir en place en France, LREM, La République en Marche (source ministère de l'intérieur). Certaines personnes ne se rendent pas vraiment compte de l'état de la société actuellement.

La situation est maintenant si grave que l'exécutif n'a pas d'autre solution que de suspendre les libertés et garanties constitutionnelles et, bien sûr, d’introduire la vaccination forcée. Cette vaccination obligatoire pour laquelle le président avait pourtant dit à l'automne qu'elle ne le serait pas.

L'autre grande mesure pour contrôler la population au bord de la révolution est d'instaurer un PAϟϟ SANITAIRE comme aux meilleurs moments du gouvernement de Vichy.

L'une des grandes leçons à tirer des cinq derniers siècles en Europe et en Amérique est la suivante : les crises sévères contribuent à renforcer le pouvoir de l'État. Cela a toujours été le cas et il n'y a pas de raison que ce soit différent avec la pandémie imaginée de toute pièce de COVID-19.

Comme me le disait il n'y a pas si longtemps mon buraliste :

« Je ne sais pas où on va... mais on y va ! » 

Depuis des années maintenant, une épidémie de santé mentale a envahi une grande partie du monde. Les spécialistes ont fait état d'une explosion de problèmes de santé mentale avec la crise du coronavirus, allant de la dépression au suicide en passant par la psychose et les troubles addictifs. Ça ne fait que s'accélérer au fur et à mesure que les gouvernements adoptent de nouvelles mesures anti-humaines. Pour beaucoup de gens, la traversée de la pandémie de COVID-19 aura été vécue comme un traumatisme personnel. Les cicatrices infligées pourraient durer des années. Les humains sont par nature des êtres sociaux. La camaraderie et les interactions sociales sont une composante essentielle de notre humanité. Si nous en sommes privés, nos vies se retrouvent chamboulées. Les relations sociales sont, dans une large mesure, anéanties par les mesures de confinement et la distanciation physique ou sociale imposée par les gouvernants. Dans le cas des confinements dus au COVID-19, cela s'est produit à un moment d'anxiété accrue où nous avions le plus besoin d’interactions. Il en a résulté solitude et isolement.

Les choses ne vont pas aller vers une amélioration car, à l'avenir, les gouvernements décideront très probablement, mais avec des degrés d'intensité différents, qu'il est dans le meilleur intérêt de la société de réécrire certaines règles du jeu et d'accroître leur rôle de façon permanente. Nous entrons dans une ère de dictature mondialiste généralisée s'appuyant sur les systèmes de santé et le numérique.

La dictature numérique

Les dictature numérique et le traçage
On peut tirer une leçon importante des pays totalitaires qui ont été les plus efficaces dans la lutte contre la pandémie. Le traçage systématique des contacts s'est avéré faire partie des éléments clé d'une stratégie réussie contre le COVID-19. Le meilleur moyen de réduire ou d'arrêter la transmission du virus consiste en effet à effectuer des tests à grande échelle, puis d'isoler les cas, de tracer les contacts et de mettre en quarantaine les contacts exposés aux personnes infectées. On peut par exemple les rassembler dans des camps comme cela a été fait en Allemagne. Le traçage (contact tracing) et le suivi (contact tracking) des contacts sont donc des éléments essentiels de réponse de la santé publique aux épidémies émergentes. Ils permettent de suivre les mouvements de l'utilisateur en temps réel, ce qui à son tour permet de mieux faire respecter le confinement imposé à l'encontre de toute liberté de circulation édictée par la déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen.

Cette systématisation de l'usage du téléphone portable de type « smartphone » a été préparée et mise en place depuis de longues années par l'U.E. Fin 2021, une nouvelle directive de l'U.E. va rendre systématique l'utilisation d'une « application smartphone » pour s'identifier et effectuer des paiements par Internet alors que jusqu'à présent il suffit de recopier un code envoyé par SMS sur un téléphone portable classique. Le traçage numérique est devenu l'une des questions les plus sensibles en termes de santé publique, suscitant à raison de vives inquiétudes dans le monde entier quant au respect de la vie privée. Mais une fois de plus, nous voulons souligner qu'il s'agit d'une situation d'urgence sanitaire présentée comme rapide et très volatile, mais qui va pourtant perdurer dans le temps et devenir la nouvelle norme. La personne en possession du téléphone portable devra télécharger volontairement l'application et si elle ne le fait pas volontairement on va lui imposer de force ou la mettre à l'amende.

Dans le livre « COVID-19 : La Grande réinitialisation  » de Klaus Schwab il est possible de lire ceci :

À mesure que la crise du coronavirus se résorbera et que les gens commenceront à retourner au travail, les entreprises s'orienteront vers une surveillance accrue ; pour le meilleur ou pour le pire, elles surveilleront et parfois enregistreront ce que fait leur personnel. La tendance pourrait prendre de nombreuses formes différentes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance, via une application, de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale. Cela ne manquera pas de soulever de profondes questions de réglementation et de respect de la vie privée, que de nombreuses entreprises rejetteront en faisant valoir que, à moins d'accroître la surveillance numérique, elles ne pourront pas rouvrir et fonctionner sans risquer de nouvelles infections (dont elles seraient, dans certains cas, tenues responsables). Elles invoqueront la santé et la sécurité pour justifier une surveillance accrue.

En avril 2020, plusieurs leaders technologiques avaient d'ailleurs observé avec quelle rapidité et quelle radicalité les nécessités créées par la crise sanitaire avaient précipité l'adoption d'un large éventail de technologies par les entreprises et les gouvernements.

La dictature sanitaire

La dictature sanitaire
Si l'on se fie à l'histoire, les catastrophes naturelles, comme les ouragans et les tremblements de terre, rapprochent les gens, tandis que les pandémies font le contraire : elles les éloignent en suscitant souvent des sentiments de méfiance permanents. Les gens se replient sur eux-mêmes et tout lien social est rompu. D’après les psychologues, la fermeture cognitive implique souvent une façon de penser en noir et blanc et des solutions simplistes. C'est un terrain propice aux théories du complot et à la propagation de rumeurs, de fausses nouvelles, de demi-vérités et d'autres idées pernicieuses. On le voit bien avec la disparition de tout sens critique et les citoyens qui gobent aveuglément tout ce qui est diffusé à la télévision sans interruption. Très peu sont ceux qui, comme moi, font l'effort de rechercher l'information et la vérité et mettent en opposition des avis parfois contraires pour se faire une idée par eux-mêmes en toute connaissance de chose et en toute objectivité.

La pandémie est un terrain propice à la mise en place de campagnes de propagandes et à l'instauration de totalitarisme car il sera facilement accepté par la population aisément manipulée par les médias officiels de la classe dirigeante (médias « mainstream »). Dans des conditions de stress, les personnes sont en effet enclines à rechercher le leadership, l'autorité et la clarté, ce qui signifie que la question de savoir à qui nous faisons confiance devient critique. L'attrait de la cohésion et de l'unité augmente, ce qui nous amène à nous regrouper autour de notre clan ou de notre groupe, et à devenir généralement plus sociable et docile en son sein, mais pas en dehors. Il est donc très facile pour les pouvoirs en place d'en profiter à leur avantage. Pour cela il suffit de museler toute opposition politique. Le seul leadership restant est donc le leur et les personnes vont s'y rallier mécaniquement.

Un exemple simple illustre parfaitement ce point : l'OMS et la plupart des autorités sanitaires nationales ont recommandé de porter un masque en public en le présentant comme une nécessité épidémiologique et une mesure facile d'atténuation des risques. Les gens l'ont accepté sans broncher. Aux États-Unis et dans quelques autres pays, la décision de porter ou non un masque est devenue pourtant un problème politique car elle est considérée comme une atteinte à la liberté individuelle. Mais en France, où la dictature macronienne fonctionne extrêmement bien, personne ne remet en cause cette aberration et tout le monde se soumet à ce décret liberticide.

Le coup du masque ayant parfaitement bien fonctionné au delà de leurs attentes les plus utopiques, le prochain obstacle est le défi politique consistant à vacciner suffisamment de personnes dans le monde et à nous refaire le même coup qu'avec le masque. Les médias diffusent des informations comme quoi le COVID-19 reste une menace pour notre santé et qu'un retour complet à la « normale » ne peut être envisagé avant que tout le monde soit vacciné. Ils oublient cependant de préciser qu'il faut entre 10 et 30 ans pour concevoir un vaccin sûr et efficace, qu'on ne doit jamais vacciner pendant une épidémie – la vaccination doit être faite avant pour justement prévenir l'arrivée d'une épidémie avant qu'elle ne se répande, quand elle s'est déjà installée c'est déjà trop tard –, qu'il existe des remèdes efficaces, et surtout qu'aucun retour à la normal n'a jamais été envisagé.

Comme leur vaccination ne reçoit pas suffisamment l'adhésion de la population ils mettent en œuvre des incitations à se faire vacciner en offrant des cadeaux. Ils instaurent un PAϟϟ SANITAIRE à l'encontre de la libre circulation des personnes et ils vont finir par la rendre obligatoire à s'asseyant allégrement sur les lois européennes qui interdisent qu'un acte médical soit accomplit sans le consentement avisé des patients.

Cette pandémie pourrait ouvrir une ère de surveillance sanitaire active rendue possible par les smartphones à détection de localisation, les caméras de reconnaissance faciale, les drones, la 5G et d'autres technologies encore plus réjouissantes. Préparez-vous à vivre dans le monde de demain.
Pourquoi ne doit-on jamais vacciner pendant une épidémie ?

En règle générale la vaccination se fait toujours pendant une période calme où le virus ne circule pas. Ça laisse ainsi le temps à notre système immunitaire de se préparer et le jour où le virus arrive chacun peut se défendre efficacement et éviter que ça ne se transforme en épidémie.


Sources :
Cette grande analyse de la Réinitialisation a été faite par Dramatic.fr en compilant différentes sources et notamment
L'Article publié le 20 avril 2020 par Olivier Demeulenaere

Le livre « COVID-19 : La Grande réinitialisation  » de Klaus Schwab et Thierry Malleret



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Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le , il y a moins d'un an.