En nahua (langue aztèque) « Coatl » signifie « serpent » et « Quetzal » est le nom d'un oiseau, mais ce mot a également le sens de « précieux ». Donc « Quetzalcoatl » peut se traduire par « Oiseau-serpent », « Serpent aux plumes de quetzal » ou « Serpent précieux ». En occident nous l'appelons tout simplement le « dieu serpent à plumes ».
En maya Yukatèque ce même dieu porte le nom de Kukulkan (Kukul = oiseau, kan = serpent) et en maya Quiché il est appelé Gucumatz (Guc = oiseau, Kumatz = serpent).
Ce dieu remonte au moins à l'empire de Téotihuacan (III-VIIIème siècle ap. JC). Il y était déjà représenté par un serpent à plumes et il régnait probablement sur les eaux et la végétation. Il était le compagnon de Tlaloc, le dieu de la pluie. Ensuite, dans l'empire des Nahuas Toltèques de Tula (IX-XIIème siècle ap. JC), il deviendra le dieu de la planète Vénus.
Encore plus tard, dans l'empire des Nahuas Aztèques (1323-1521), il sera vénéré comme le patron des prêtres, le civilisateur et le protecteur des hommes. Il représentait également la planète Vénus : Sous le nom de « Tlahuizcalpantecuhtli » (= maître de l'étoile de l'aube). Il était Vénus en tant qu'étoile du matin, et sous le nom de « Xolotl », il était Vénus en tant qu'étoile du soir.
Xolotl était aussi le nom de son frère jumeau, le dieu à tête de coyote. Tous les deux étant les enfants de la déesse Coatlicue (= Serpent-femme).
Les dieux jaguar des Aztèques
Les Nahuas (Toltèques et Aztèques) avaient une vision dualiste du monde dans laquelle ils opposaient Quetzalcoatl à son rival et complémentaire : le dieu Tezcatlipoca (= « miroir fumant »), maitre de la nuit et de la sorcellerie.
C'était un très antique dieu-jaguar qui était déjà connu des anciens Olmèques, plusieurs siècles av. JC, et même de la vieille civilisation contemporaine de Chavin, dans les Andes. Il correspondait au dieu Pachacamac des Incas et Aymaras.
Le jaguar symbolisait le ciel nocturne étoilé ainsi que le monde souterrain et les tremblements de terre. Au début son opposé était un rapace (l'aigle aztèque, le condor inca ou le faucon des anciens Mounds-builders) représentant le ciel diurne. D'ailleurs à l'époque aztèque, les guerriers étaient encore divisés en deux classes : les hommes-aigles et les hommes-jaguars.
Les Incas créeront même un animal appelé « wari », mi-jaguar mi condor, qui unifiait les deux animaux symboliques.
Cependant, à partir de l'époque toltèque, le dieu-jaguar Tezcatlipoca sera plutôt opposé au dieu Quetzalcoatl : parfois on les voit travailler ensembles, mais le plus souvent ils se jalousent et se battent l'un contre l'autre.
C'était un très antique dieu-jaguar qui était déjà connu des anciens Olmèques, plusieurs siècles av. JC, et même de la vieille civilisation contemporaine de Chavin, dans les Andes. Il correspondait au dieu Pachacamac des Incas et Aymaras.
Le jaguar symbolisait le ciel nocturne étoilé ainsi que le monde souterrain et les tremblements de terre. Au début son opposé était un rapace (l'aigle aztèque, le condor inca ou le faucon des anciens Mounds-builders) représentant le ciel diurne. D'ailleurs à l'époque aztèque, les guerriers étaient encore divisés en deux classes : les hommes-aigles et les hommes-jaguars.
Les Incas créeront même un animal appelé « wari », mi-jaguar mi condor, qui unifiait les deux animaux symboliques.
Cependant, à partir de l'époque toltèque, le dieu-jaguar Tezcatlipoca sera plutôt opposé au dieu Quetzalcoatl : parfois on les voit travailler ensembles, mais le plus souvent ils se jalousent et se battent l'un contre l'autre.
Les quatre premiers mondes des aztèques
Dans l'une des versions de la création aztèque, plusieurs mondes avaient été créés successivement par Quetzalcoatl et Tezcatlipoca, mais leurs constantes querelles avaient tout fait retourner au néant quatre fois de suite.
Tezcatlipoca dirigea le premier monde (le « Soleil des Jaguars »), mais Quetzalcoatl poussa Tezcatlipoca à l'eau avec son bâton et la terre fut dévorée par les jaguars, c'est à dire détruite par des séismes.
Quetzalcoatl dirigea alors le 2ème monde (le « Soleil du vent ») mais Tezcatlipoca le détrôna d'un coups de patte, puis tout fut emporté par un gigantesque ouragan.
Puis Tlaloc dirigea le 3ème monde (le « Soleil de pluie ») ... mais Quetzalcoatl envoya une pluie de feu qui consuma tout.
Ensuite la déesse de l'Eau, Chalchiuhtlicue, dirigea le 4ème monde (le « Soleil d'eau »), mais il fut englouti par un déluge et Tezcatlipoca décapita les rescapés.
Quetzalcoatl est alors descendu avec Xolotl au Mictlan dans le pays souterrain. Après avoir subi plusieurs épreuves de la part du dieu de la mort, il a pu récupérer les ossements d'un homme et d'une femme. La déesse Cihuacoatl (= femme serpent) broya ensuite ces os et Quetzacoatl les arrosa du sang de son pénis, leurs infusant ainsi la vie. Puis il organisa un 5ème monde pour abriter cette nouvelle humanité : ce fut notre monde actuel (le « soleil des tremblements de terre ») dirigé par le dieu solaire Tonatiuh.
Il existe une autre version aztèque de la création du 5ème monde :
Quetzalcoatl et Tezcatlipoca pénétrèrent dans le corps de Tlaltecuhtli, le monstre de la terre, et le séparèrent en deux, créant ainsi le ciel et la terre.
Tezcatlipoca dirigea le premier monde (le « Soleil des Jaguars »), mais Quetzalcoatl poussa Tezcatlipoca à l'eau avec son bâton et la terre fut dévorée par les jaguars, c'est à dire détruite par des séismes.
Quetzalcoatl dirigea alors le 2ème monde (le « Soleil du vent ») mais Tezcatlipoca le détrôna d'un coups de patte, puis tout fut emporté par un gigantesque ouragan.
Puis Tlaloc dirigea le 3ème monde (le « Soleil de pluie ») ... mais Quetzalcoatl envoya une pluie de feu qui consuma tout.
Ensuite la déesse de l'Eau, Chalchiuhtlicue, dirigea le 4ème monde (le « Soleil d'eau »), mais il fut englouti par un déluge et Tezcatlipoca décapita les rescapés.
Quetzalcoatl est alors descendu avec Xolotl au Mictlan dans le pays souterrain. Après avoir subi plusieurs épreuves de la part du dieu de la mort, il a pu récupérer les ossements d'un homme et d'une femme. La déesse Cihuacoatl (= femme serpent) broya ensuite ces os et Quetzacoatl les arrosa du sang de son pénis, leurs infusant ainsi la vie. Puis il organisa un 5ème monde pour abriter cette nouvelle humanité : ce fut notre monde actuel (le « soleil des tremblements de terre ») dirigé par le dieu solaire Tonatiuh.
Il existe une autre version aztèque de la création du 5ème monde :
Quetzalcoatl et Tezcatlipoca pénétrèrent dans le corps de Tlaltecuhtli, le monstre de la terre, et le séparèrent en deux, créant ainsi le ciel et la terre.
Quetzalcoatl est le créateur de l'humanité
Selon le « Popol Vuh », le livre sacré des mayas, Kukulcan / Gucumatz (l'équivalent de Quetzalcoatl) était également un des créateurs de l'humanité.
Au début du livre, Gukumatz est décrit comme un grand serpent avec de belles plumes bleu-vert, qui flotte dans la mer primordiale. Avec Huracan (ou Tepeu), le dieu des ouragans, il décide de remplacer la mer par une terre ferme, puis de la peupler avec des animaux. Mais les deux dieux sont mécontents de ces créatures incapables de les vénérer. Ils créent alors différentes espèces humaines : d'abord des hommes de boue puis de bois, mais ceux-ci ne sont guère plus doués. Ils les remplacent alors par des hommes de maïs... mais ceux-ci sont trop intelligents et puissants et les deux dieux doivent les détruire aussi. Enfin seulement sont créés les hommes actuels, dont les possibilités sont équilibrées de manière idéale.
On remarquera que Quetzalcoatl est ici accompagné par Huracan, un dieu qui pourrait être l'équivalent du Tezcatlipoca des Aztèques. En effet, comme lui, il porte parfois un miroir d'obsidienne et a les jambes remplacées par des serpents. Huracan porte aussi le nom de k'awil, Tohil ou Bolan-Tz'acab. C'est un dieu du vent et il porte un long nez. Cependant, chez les Aztèques, ce n'est pas Tezcatlipoca mais bien Quetzalcoatl lui-même qui est souvent identifié à Ehecatl (= vent) leur dieu du vent, lequel porte lui aussi un long nez et balaie le sol devant Tlaloc. Lorsqu'il est identifié à Ehecatl, Quetzalcoatl est considéré comme le fils de Tonacatecuhtli, le dieu du 13ème ciel.
Au début du livre, Gukumatz est décrit comme un grand serpent avec de belles plumes bleu-vert, qui flotte dans la mer primordiale. Avec Huracan (ou Tepeu), le dieu des ouragans, il décide de remplacer la mer par une terre ferme, puis de la peupler avec des animaux. Mais les deux dieux sont mécontents de ces créatures incapables de les vénérer. Ils créent alors différentes espèces humaines : d'abord des hommes de boue puis de bois, mais ceux-ci ne sont guère plus doués. Ils les remplacent alors par des hommes de maïs... mais ceux-ci sont trop intelligents et puissants et les deux dieux doivent les détruire aussi. Enfin seulement sont créés les hommes actuels, dont les possibilités sont équilibrées de manière idéale.
On remarquera que Quetzalcoatl est ici accompagné par Huracan, un dieu qui pourrait être l'équivalent du Tezcatlipoca des Aztèques. En effet, comme lui, il porte parfois un miroir d'obsidienne et a les jambes remplacées par des serpents. Huracan porte aussi le nom de k'awil, Tohil ou Bolan-Tz'acab. C'est un dieu du vent et il porte un long nez. Cependant, chez les Aztèques, ce n'est pas Tezcatlipoca mais bien Quetzalcoatl lui-même qui est souvent identifié à Ehecatl (= vent) leur dieu du vent, lequel porte lui aussi un long nez et balaie le sol devant Tlaloc. Lorsqu'il est identifié à Ehecatl, Quetzalcoatl est considéré comme le fils de Tonacatecuhtli, le dieu du 13ème ciel.
Ne pas le confondre avec le Prince Quetzalcoatl
Dans les légendes toltèques, Quetzalcoatl est souvent confondu avec un personnage historique qui portait le même nom que lui : Topiltzin Ce Acatl Quetzalcoatl. Son nom signifie « le Prince Quetzalcoatl né le jour 1 roseau ». (Chimalpahin l'appelle Topiltzin Acxitl Quetzalcoatl.) Il aurait régné sur les Toltèques de Tula vers 923 - 947 et on prétend qu'il était le fils du grand guerrier chichimèque Mixcoatl (= Serpent des nuages, nom d'un dieu du ciel et de la chasse).
Selon le codex Ramirez ce Mixcoatl aurait régné de 900 à 947 (ou de 952 à 999) La mère de Topiltzin Ce Acatl Quetzalcoatl était Colhuacano Chimalman (ou Xochiquetzal). D'autres disent que son père était Camaxtli, Totepeuh, Iztaccaltzin ou Tecpancaltzin.
Les listes dynastiques de l'empire toltèque sont d'ailleurs assez divergentes et ne mettent pas toujours Topiltzin Quetzalcoatl comme le successeur du même roi.
On notera que les années indiquées ici sont des dates moyennes. En effet les anciens peuples du Mexique notaient leurs dates en utilisant un cycle de 52 ans, ce qui fait qu'il y a toujours une imprécision de 52 ans pour chaque datation. Par exemple, l'année 947 pourrait correspondre en fait à 895 ou à 999.
Selon le codex Ramirez ce Mixcoatl aurait régné de 900 à 947 (ou de 952 à 999) La mère de Topiltzin Ce Acatl Quetzalcoatl était Colhuacano Chimalman (ou Xochiquetzal). D'autres disent que son père était Camaxtli, Totepeuh, Iztaccaltzin ou Tecpancaltzin.
Les listes dynastiques de l'empire toltèque sont d'ailleurs assez divergentes et ne mettent pas toujours Topiltzin Quetzalcoatl comme le successeur du même roi.
On notera que les années indiquées ici sont des dates moyennes. En effet les anciens peuples du Mexique notaient leurs dates en utilisant un cycle de 52 ans, ce qui fait qu'il y a toujours une imprécision de 52 ans pour chaque datation. Par exemple, l'année 947 pourrait correspondre en fait à 895 ou à 999.
Des textes anciens parlent de ce roi
Plusieurs textes décrivent la vie de Topiltzin Ce Acatl Quetzalcoatl :
Selon l' « Historia de los Mexicanos por sus peintures » (1531) :
Selon le « Libro de oro y tesoro indico » (1532) :
Selon la « Traduction d' André Thevet » :
Selon l' « Histoire générale de las cosas de Nueva Espana » (par Fray Bernardino de Sahagun) et le codex Ixtlilxochitl :
Selon l' « Historia de los Mexicanos por sus peintures » (1531) :
Le père de Ce Acatl Quetzalcoatl était Camaxtli (= autre nom de Mixcoatl, ou nom sous lequel les Tlaxcalans vénéraient le dieu aztèque Huitzilopochtli), mais il n'a pas connu sa mère, celle-ci étant morte en lui donnant naissance.
Une fois adulte, il passa sept ans sur une montagne, offrant des pénitences aux dieux et effectuant des rituels sanglants pour devenir un grand guerrier. Une fois ce temps passé, il fit la guerre et devint le roi de Tollan (Tula) et de tous les Toltèques. Son règne fut paisible et prospère pendant 42 ans. Ensuite son ennemi Tezcatlipoca lui donna quatre ans pour quitter le pays et aller à Tlapallan pour y mourir. Au cours de ses quatre dernières années, Ce Acatl Quetzalcoatl visita de nombreux villages, y laissant une partie de ses suivants derrière lui, jusqu'à ce qu'il arrive à Tlapallan pour y mourir le lendemain. Tollan sera conquise quelques temps plus tard et tous les Toltèques seront sacrifiés.
Selon le « Libro de oro y tesoro indico » (1532) :
Topilis (Topiltzin) Quetzalcoatl était le fils de Totepeuh (= le seigneur Tepeuh cité dans les « Annales des Cakchiquels » ?), roi de Teocolhuacan. Son père avait été assassiné par son beau-frère mais Topiltzin le vengea. Il se rendit ensuite à Tollan (Tula) mais comme il y interdisait les sacrifices humains et que cela déplaisait à Tezcatlipoca, ce dernier le chassa à Tlapallan.
Selon la « Traduction d' André Thevet » :
Quetzalcoatl était le fils de Camaxtli et de Chimalma, mais il n'a pas connu sa mère qui est décédée quatre jours après sa naissance, à Xochicalco. Plus tard, devenu un guerrier, il s'empare de Xicalenco avec son père. Mais celui-ci fut assassiné peu après par ses frères, les 400 Mimixcoas. Lors de la guerre qui suivra, Quetzalcoatl les tuera tous, vengeant ainsi son père (On retrouve la même légende avec le dieu Aztèque Huitzilopochtli qui tua ses 400 frères qui voulaient tuer sa mère). Ensuite Quetzalcoatl émigrera à Tollan ou il règnera en tant que dieu et sorcier pendant 160 ans.
Plus tard, il rencontrera Tezcatlipoca qui, jaloux de l'adoration des Toltèques envers lui, le chassera de Tollan avec ses partisans. Quetzalcoatl visitera alors de nombreux villages dont les habitants continueront à le vénérer comme un dieu, avant de se diriger vers Tlapallan. Mais Tezcatlipoca finira par le rattraper dans le désert et le tuera. La planète Vénus naitra alors de la fumée sortant de son cadavre.
Selon l' « Histoire générale de las cosas de Nueva Espana » (par Fray Bernardino de Sahagun) et le codex Ixtlilxochitl :
Topiltzin Quetzalcoatl / Meconctzin était le fils adultérin du roi Toltèque Tecpancaltzin (selon Sahagun) ou Iztaccaltzin (selon Ixtlilxochitl) et de Quetzalxochitzin. Il accédera au trone de Tollan en l'année « Ome Acatl » (882, 940 ou 992) et il transmettra ses connaissances et sa sagesse aux Toltèques. Dans cette version, Tollan ressemble à une sorte de pays paradisiaque tellement les gens y sont heureux. Mais deux sorciers appelés Tezcatlipoca et Tatlauhquizcatlepuca apporteront des désordres dans le pays. Les seigneurs révoltés Quauhtli et Matlatzin vaincront l'empire Toltèque en l'année « Matlactli Tecpatl » (904, 956 ou 1008) ou « Ce Tecpatl » (907, 959 ou 1011) et chasseront Topiltzin Quetzalcoatl. Celui-ci se réfugiera dans une caverne prés de Xicco puis partira vers le Tlapallan, le pays de ses ancètres, en disant aux Toltèques survivants qu'il reviendrait se venger dans 5012 ans. Il régnera 32 ans à Tlapallan et mourra à l'âge de 104 (ou 160) ans, en l'année « 5 Acatl » (1003, 1055, 1107 ou 1159).
Le mythe de la mort du dieu Mars
Dans la tradition maya, leur grand dieu, souvent décrit comme un serpent à plumes, aurait été responsable de la mort du dieu de Mars, il l'aurait écorché à mort, l'a dépouillé de sa peau. C'est un rituel horrible qui a en fait été pratiqué d'une autre manière dans cette culture, mais l'idée est que la mort absorbe par là le pouvoir de l'ennemi.
Mais le nom de leur dieu est également associé aux comètes. Certains dessins montrent des comètes qui semblent avoir des plumes sur le dos. Les flammes sont décrites comme des plumes. Et certains spécialistes pensent qu'il existe un lien entre l'apparence du serpent à plumes volant et ces comètes. Est-il possible que le mythe maya du serpent à plumes décrive un événement réel, une frappe de comète cataclysmique qui a détruit l'atmosphère martienne ?
Après avoir étudié la planète rouge pendant des décennies, les scientifiques ont admis qu'il était tout à fait possible que cet impact se soit produit sur Mars dans un passé lointain. Si vous regardez le paysage martien, il est fortement encombré par rapport à la Terre. Mars est à côté de la ceinture d'astéroïdes. En fait, à certains égards, il définit le bord intérieur de la ceinture d'astéroïdes. Donc, Mars est constamment martelé par des astéroïdes par rapport à la Terre. Vous avez toujours le risque, et nous l’avons bien vu ici sur Terre, d’avoir de gros astéroïdes ou des comètes frappant la planète et causant d’énormes dommages écologiques. L’exemple le plus célèbre est l’astéroïde Chicxulub, qui a peut-être été le dernier clou du cercueil des dinosaures. Et cela aurait certainement pu se produire sur Mars, car elle n’a pas une grande lune pour protéger la planète et éventuellement détourner les astéroïdes.
Mais le nom de leur dieu est également associé aux comètes. Certains dessins montrent des comètes qui semblent avoir des plumes sur le dos. Les flammes sont décrites comme des plumes. Et certains spécialistes pensent qu'il existe un lien entre l'apparence du serpent à plumes volant et ces comètes. Est-il possible que le mythe maya du serpent à plumes décrive un événement réel, une frappe de comète cataclysmique qui a détruit l'atmosphère martienne ?
Après avoir étudié la planète rouge pendant des décennies, les scientifiques ont admis qu'il était tout à fait possible que cet impact se soit produit sur Mars dans un passé lointain. Si vous regardez le paysage martien, il est fortement encombré par rapport à la Terre. Mars est à côté de la ceinture d'astéroïdes. En fait, à certains égards, il définit le bord intérieur de la ceinture d'astéroïdes. Donc, Mars est constamment martelé par des astéroïdes par rapport à la Terre. Vous avez toujours le risque, et nous l’avons bien vu ici sur Terre, d’avoir de gros astéroïdes ou des comètes frappant la planète et causant d’énormes dommages écologiques. L’exemple le plus célèbre est l’astéroïde Chicxulub, qui a peut-être été le dernier clou du cercueil des dinosaures. Et cela aurait certainement pu se produire sur Mars, car elle n’a pas une grande lune pour protéger la planète et éventuellement détourner les astéroïdes.
