La magie marocaine est crainte dans tout le Maghreb. La sorcellerie marocaine est très puissante et peux détruire des familles. Ces pratiques ancestrales sont toujours très répandues au Maroc, plus que dans tout autre pays. Elle prend ses racines dans les contrées où le taux d'illettrisme est très élevé et où les traditions perdurent depuis des siècles.
Ce sont les sorciers marocains, qu'on appelle des Talebs, qui pratiquent la sorcellerie. Ce sont des érudits qui possèdent un grand savoir sur l'Islam et dans le domaine des croyances transmises de génération en génération. Ils sont maîtres en herboristerie et les souks des grandes villes regorgent de plantes auxquelles on attribue des propriétés magiques, et pas seulement des plantes, des animaux aussi. Les tortues sont notamment très prisées par les magiciens arabes.
Cette sorcellerie du Maroc s'appelle le « shour ». On pourrait la comparer à la magie noire européenne à cette différence près que, comme tout bon sorcier africain, les Talebs travaillent souvent des deux mains. On veut dire par là qu'il pratiquent aussi bien la magie noire que magie blanche. Et ce qui peut être bénéfique pour quelqu'un peut toujours être mauvais pour son voisin.
Si les Talebs sont des sorciers professionnels, le shour est essentiellement pratiqué par les femmes dans le cadre privé. Les femmes pratiquent la magie shour comme si elles utilisaient un outil qui leur est réservé socialement. Elles font usage de cette magie puissante essentiellement pour résoudre des problèmes de couple ou sur le plan amoureux. Pour faire du shour à un homme, les femmes sorcières sont monnaie courante. Elle peuvent même elles-mêmes aller voir le Taleb. Mais leurs actions restent en général limitées dans le cadre du cercle familial alors qu'un sorcier professionnel va agir à l'encontre de n'importe qui. Si vous êtes victime de shour, il faut donc s'intéresser en premier lieu à votre entourage le plus proche, peut-être votre épouse ou votre maitresse.
Ce sont les sorciers marocains, qu'on appelle des Talebs, qui pratiquent la sorcellerie. Ce sont des érudits qui possèdent un grand savoir sur l'Islam et dans le domaine des croyances transmises de génération en génération. Ils sont maîtres en herboristerie et les souks des grandes villes regorgent de plantes auxquelles on attribue des propriétés magiques, et pas seulement des plantes, des animaux aussi. Les tortues sont notamment très prisées par les magiciens arabes.
Cette sorcellerie du Maroc s'appelle le « shour ». On pourrait la comparer à la magie noire européenne à cette différence près que, comme tout bon sorcier africain, les Talebs travaillent souvent des deux mains. On veut dire par là qu'il pratiquent aussi bien la magie noire que magie blanche. Et ce qui peut être bénéfique pour quelqu'un peut toujours être mauvais pour son voisin.
Si les Talebs sont des sorciers professionnels, le shour est essentiellement pratiqué par les femmes dans le cadre privé. Les femmes pratiquent la magie shour comme si elles utilisaient un outil qui leur est réservé socialement. Elles font usage de cette magie puissante essentiellement pour résoudre des problèmes de couple ou sur le plan amoureux. Pour faire du shour à un homme, les femmes sorcières sont monnaie courante. Elle peuvent même elles-mêmes aller voir le Taleb. Mais leurs actions restent en général limitées dans le cadre du cercle familial alors qu'un sorcier professionnel va agir à l'encontre de n'importe qui. Si vous êtes victime de shour, il faut donc s'intéresser en premier lieu à votre entourage le plus proche, peut-être votre épouse ou votre maitresse.