Pyramide à degrés du roi Djoser à Saqqarah
D'immenses machines qui percent le roc ou qui déplacent des blocs de pierre de plusieurs tonnes ; des avions modernes qui transportent plusieurs milliers de personnes à travers le monde et des navettes spatiales qui envoient des êtres humains dans l'espace... S'agit-il d'exemples de technologies modernes ou y a-t-il des preuves que de tels exploits se soient réalisés sur terre il y a des milliers d'années ? On finit par se demander s'il ne manquerait pas une partie de l'histoire. L'homme préhistorique avait-il des connaissances supérieures, ou du moins équivalentes, à celles que nous avons aujourd'hui ? Si tel est le cas, comment les a-t-il acquises ?
Certaines preuves trouvées lors de fouilles archéologiques attestent que les humains de l'Antiquité possédaient beaucoup plus de technologie que l'on pourrait le croire. On a par exemple retrouvé à Bagdad une pile électrique qui porte à croire que la ville possédait l'électricité et peut-être même un éclairage public.
Certains scientifiques avancent même l'hypothèse que les anciens peuples possédaient des connaissances en aviation. Ces connaissances se seraient ensuite perdues dans les méandres du temps pour ne réapparaître qu'à la fin du XIXème siècle. Mais qui pouvait bien avoir appris aux premiers hommes toutes ces choses ?
Certaines preuves trouvées lors de fouilles archéologiques attestent que les humains de l'Antiquité possédaient beaucoup plus de technologie que l'on pourrait le croire. On a par exemple retrouvé à Bagdad une pile électrique qui porte à croire que la ville possédait l'électricité et peut-être même un éclairage public.
Certains scientifiques avancent même l'hypothèse que les anciens peuples possédaient des connaissances en aviation. Ces connaissances se seraient ensuite perdues dans les méandres du temps pour ne réapparaître qu'à la fin du XIXème siècle. Mais qui pouvait bien avoir appris aux premiers hommes toutes ces choses ?
La théorie des anciens astronautes
Il est possible que les peuples de l'antiquité aient reçu la visite d'êtres qui ne venaient pas de notre planète et que ces êtres leur ont transmit des techniques scientifiques. Il devient de plus en plus évident que la réponse possible à la question « les extra-terrestres nous ont-ils rendu visite dans le passé ? » est « oui ». Des millions de personnes à travers le monde croient que nous avons reçut la visite d'extraterrestres par le passé. Et si c'était vrai ? Les extraterrestres auraient-ils participé à notre histoire ? Et s'ils avaient laissé des indices de leur passage ? Des indices qui pourraient se cacher à la vue de tous. Et si on en trouvait des preuves ?
Le Sifr’ala de Chaldée est un texte babylonien vieux de plus de 5000 ans qui fournit beaucoup d'explications pour construire et faire voler un avion. Il décrit notamment très précisément les parties en cuivre et en graphite d’un avion et rapporte les effets de la résistance de l'air sur la stabilité de l'engin.
Mais c'est dans les textes indiens que l'on trouve les récits les plus intrigants. Le célèbre Mahabharata est composé de très nombreux ouvrages relatant une gigantesque épopée commencée au IVe siècle avant notre ère. On y parle à maintes reprises de « chars aériens » en métal pourvus d'ailes.
Les Anciens Egyptiens ne sont pas en reste non plus en ce qui concerne les expériences aéronautiques. On a découvert notamment des bateaux solaires. Mais les caractéristiques les plus étonnantes et les plus déroutantes du navire solaire sont qu’il n’ont jamais été conçus pour naviguer sur l’eau, même s’ils possèdent toutes les conditions nécessaires pour le faire. Les bateaux solaires, selon de nombreux auteurs, ont été construits par les anciens Egyptiens pour naviguer dans les airs.
Les Egyptiens semblaient également utiliser des planeurs.
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Le Sifr’ala de Chaldée est un texte babylonien vieux de plus de 5000 ans qui fournit beaucoup d'explications pour construire et faire voler un avion. Il décrit notamment très précisément les parties en cuivre et en graphite d’un avion et rapporte les effets de la résistance de l'air sur la stabilité de l'engin.
Mais c'est dans les textes indiens que l'on trouve les récits les plus intrigants. Le célèbre Mahabharata est composé de très nombreux ouvrages relatant une gigantesque épopée commencée au IVe siècle avant notre ère. On y parle à maintes reprises de « chars aériens » en métal pourvus d'ailes.
Les Anciens Egyptiens ne sont pas en reste non plus en ce qui concerne les expériences aéronautiques. On a découvert notamment des bateaux solaires. Mais les caractéristiques les plus étonnantes et les plus déroutantes du navire solaire sont qu’il n’ont jamais été conçus pour naviguer sur l’eau, même s’ils possèdent toutes les conditions nécessaires pour le faire. Les bateaux solaires, selon de nombreux auteurs, ont été construits par les anciens Egyptiens pour naviguer dans les airs.
Les Egyptiens semblaient également utiliser des planeurs.
L'oiseau de Saqqarah
Saqqarah en Egypte, à environ 30 km au sud du Caire, est le lieu de la célèbre pyramide dite « à degrés » du roi Djoser (environ 2700 av. JC ), datant de plus de 4 000 ans. Elle est la plus ancienne des 97 pyramides d'Egypte. Saqqarah est aussi connu comme étant l'un des plus anciens cimetière d'Egypte, d'où le surnom qu'on lui a donné : la cité des morts.
Toutes les explications sur la cité des morts en consultant ce site dédié à l'égyptologie.
C'est ici qu'en 1891 des archéologues français ont déterré un tombeau ancien contenant la dépouille de Pa-di-lmen, un dignitaire du 3° siècle avant JC. Parmi les divers articles découverts se trouvait un modèle réduit en bois de sycomore de ce qui semblait être un oiseau, à côté duquel était posé un papyrus portant la phrase « je veux voler ». Plus tard, l'artefact qui pèse 39,12 grammes et a une envergure de 18,30 centimètres, a été confié au musée du Caire où les autorités l'ont placé parmi plusieurs figurines d'oiseaux et enregistré sous le n° 6347.
Le modèle réduit est longtemps resté ignoré jusqu'à ce qu'en 1969 l'égyptologue Kahlil Messiha examine la collection d'oiseaux et remarque que celui de Saqqarah avait quelque chose de très différent : de toute évidence il devrait ressembler à un oiseau puisqu'il a des yeux et un bec typique d'oiseau, mais d'autre part les ailes ne sont pas celles d'un oiseau. De plus il remarque que l'oiseau n'a pas de pattes alors que toutes les autres figurines d'oiseaux en possèdent. Le modèle réduit n'est pas non plus peint avec des motifs cherchant à rappeler les plumes d'un oiseau. Au centre du croupion on voit que les ailes sont un peu plus épaisses. C'est cette partie qui donne le plus de portance. L'épaisseur des ailes diminue jusqu'aux extrémité. Ce sont visiblement des ailes d'un modèle réduit. C'est un design aérodynamique très moderne. De plus les oiseaux n'ont pas de gouvernail parce qu'ils n'en ont pas besoin étant donné leur structure aérodynamique et leur squelette, d'où l'idée que ce n'est pas un oiseau qui est représenté mais une machine volante : un aéronef.
C'est ici qu'en 1891 des archéologues français ont déterré un tombeau ancien contenant la dépouille de Pa-di-lmen, un dignitaire du 3° siècle avant JC. Parmi les divers articles découverts se trouvait un modèle réduit en bois de sycomore de ce qui semblait être un oiseau, à côté duquel était posé un papyrus portant la phrase « je veux voler ». Plus tard, l'artefact qui pèse 39,12 grammes et a une envergure de 18,30 centimètres, a été confié au musée du Caire où les autorités l'ont placé parmi plusieurs figurines d'oiseaux et enregistré sous le n° 6347.
Le modèle réduit est longtemps resté ignoré jusqu'à ce qu'en 1969 l'égyptologue Kahlil Messiha examine la collection d'oiseaux et remarque que celui de Saqqarah avait quelque chose de très différent : de toute évidence il devrait ressembler à un oiseau puisqu'il a des yeux et un bec typique d'oiseau, mais d'autre part les ailes ne sont pas celles d'un oiseau. De plus il remarque que l'oiseau n'a pas de pattes alors que toutes les autres figurines d'oiseaux en possèdent. Le modèle réduit n'est pas non plus peint avec des motifs cherchant à rappeler les plumes d'un oiseau. Au centre du croupion on voit que les ailes sont un peu plus épaisses. C'est cette partie qui donne le plus de portance. L'épaisseur des ailes diminue jusqu'aux extrémité. Ce sont visiblement des ailes d'un modèle réduit. C'est un design aérodynamique très moderne. De plus les oiseaux n'ont pas de gouvernail parce qu'ils n'en ont pas besoin étant donné leur structure aérodynamique et leur squelette, d'où l'idée que ce n'est pas un oiseau qui est représenté mais une machine volante : un aéronef.
Les anciens Egyptiens auraient-ils pu connaitre les secrets de l'aviation ?
En 2006 Simon Sanderson, expert en aviation et en aérodynamique de l'université de Liverpool, a construit un modèle à l'échelle de l'oiseau de Saqqarah, cinq fois plus grand que l'original, dans le but de mettre l'hypothèse à l'épreuve. En maintenant une vitesse constance tout en augmentant lentement l'angle d'attaque il est possible de mesurer les forces qu'il produit ce qui permettra de déterminer les caractéristiques de vol. A un angle de 10 degrés sa portance est de 4 fois sa masse ... il volerait à ce stade.
Les tests démontrent que l'oiseau de Saqqarah est un planeur d'une technologie de pointe. C'est même un design qu'on utilise de nos jours pour fabriquer des planeurs.
Au cours des tests de Sanderson on a découvert que le seul obstacle empêchant l'oiseau de Saqqarah de voler était l'absence d'un stabilisateur ou d'une gouverne de profondeur nécessaire au maintient de l'équilibre. En effet, on ne trouve ni gouvernail ni aileron sur la maquette trouvée en Égypte. Est-il possible que l'oiseau de Saqqarah ait déjà possédé ce composant critique ? Il manque une pièce qui servirait de gouverne de profondeur mais si on examine certaines marques sur la queue on peut supposer qu'un gouvernail y était attaché mais qu'il aurait été perdu au fil des siècles.
Les tests démontrent que l'oiseau de Saqqarah est un planeur d'une technologie de pointe. C'est même un design qu'on utilise de nos jours pour fabriquer des planeurs.
Au cours des tests de Sanderson on a découvert que le seul obstacle empêchant l'oiseau de Saqqarah de voler était l'absence d'un stabilisateur ou d'une gouverne de profondeur nécessaire au maintient de l'équilibre. En effet, on ne trouve ni gouvernail ni aileron sur la maquette trouvée en Égypte. Est-il possible que l'oiseau de Saqqarah ait déjà possédé ce composant critique ? Il manque une pièce qui servirait de gouverne de profondeur mais si on examine certaines marques sur la queue on peut supposer qu'un gouvernail y était attaché mais qu'il aurait été perdu au fil des siècles.
Comment faire décoller le planeur ?
Les modèles numériques semblent confirmer que l'oiseau de Saqqarah est certainement propice au vol mais il y a un autre problème à considérer : le décollage du planeur. Les méthodes modernes exigent le recours à un avion remorqueur qui tire le planeur dans les airs et qui le relâche lorsqu'il atteint une certaine altitude. Alors, comment les anciens Égyptiens ont-ils pu lancer l'oiseau de Saqqarah ?
Selon les bases scientifiques de l'égyptologie un tel oiseau aurait pu être lancé par une catapulte. Beaucoup d'égyptologues ont favorablement accueilli cette hypothèse. L'utilisation d'une catapulte a son équivalent contemporain car on sait que plusieurs adeptes du vol en planeur utilisent un câble élastique pour lancer leur planeur dans les airs.
Mais si l'oiseau de Saqqarah est capable de voler, comment les anciens Egyptiens auraient-ils acquit une telle technologie ?
Selon les bases scientifiques de l'égyptologie un tel oiseau aurait pu être lancé par une catapulte. Beaucoup d'égyptologues ont favorablement accueilli cette hypothèse. L'utilisation d'une catapulte a son équivalent contemporain car on sait que plusieurs adeptes du vol en planeur utilisent un câble élastique pour lancer leur planeur dans les airs.
Mais si l'oiseau de Saqqarah est capable de voler, comment les anciens Egyptiens auraient-ils acquit une telle technologie ?
Des êtres venus de l'espace
Certains pensent que les peuples de l'Antiquité auraient reçu la visite d'êtres qui ne venaient pas de notre planète, un genre de peuple des étoiles, et que ces êtres leur auraient transmis une culture et des techniques scientifiques qui ont permis d'améliorer la vie quotidienne sur terre. Nous sommes passés d'une culture primitive à une culture très avancée. Si les civilisations anciennes étaient capables de fabriquer une machine volante alors ils étaient beaucoup plus avancés qu'on le croit aujourd'hui.
Ça change radicalement notre perception des sociétés anciennes. Nos ancêtres étaient plus intelligents et ils avaient des aptitudes technologiques supérieures à ce que prétendent la plupart des livres d'histoire. On finit par se demander s'il ne nous manquerait pas une partie de l'histoire. Il existerait un épisode oublié de l'histoire de l'humanité. Nous serions une espèce amnésique. Nous ne nous rappelons pas vraiment qui nous sommes. Même si on n'est pas convaincu qu'il existe des preuves de visites anciennes, il n'y a aucune raison de les exclure. Se fermer à cette possibilité est une erreur, principalement à cause de la quantité d'anomalies que l'on n'arrive pas à expliquer.
Mais comme toujours il existe des détracteurs qui prétendent que l'oiseau de Saqqarah n'est qu'un jouet pour enfant. ils ont peut-être raison mais on peut alors prendre ces septiques à leur propre jeu car pourquoi créer un modèle réduit pour les enfants si de tels objets grandeur nature ne volent pas dans le ciel ?
Ça change radicalement notre perception des sociétés anciennes. Nos ancêtres étaient plus intelligents et ils avaient des aptitudes technologiques supérieures à ce que prétendent la plupart des livres d'histoire. On finit par se demander s'il ne nous manquerait pas une partie de l'histoire. Il existerait un épisode oublié de l'histoire de l'humanité. Nous serions une espèce amnésique. Nous ne nous rappelons pas vraiment qui nous sommes. Même si on n'est pas convaincu qu'il existe des preuves de visites anciennes, il n'y a aucune raison de les exclure. Se fermer à cette possibilité est une erreur, principalement à cause de la quantité d'anomalies que l'on n'arrive pas à expliquer.
Mais comme toujours il existe des détracteurs qui prétendent que l'oiseau de Saqqarah n'est qu'un jouet pour enfant. ils ont peut-être raison mais on peut alors prendre ces septiques à leur propre jeu car pourquoi créer un modèle réduit pour les enfants si de tels objets grandeur nature ne volent pas dans le ciel ?