Avez-vous peur des mutants ou du gouvernement ?

illustration Avez-vous peur des mutants ou du gouvernement ?
L'épidémie de SRAS-CoV-2 a commencé à la fin décembre 2019 à Wuhan, en Chine, et a depuis touché une grande partie de la Chine et a soulevé une préoccupation mondiale majeure. Dans ce document, nous avons enquêté sur l'étendue de la divergence moléculaire entre le SARS-COV-2 et d'autres coronavirus connexes. Bien que nous n'ayons trouvé qu'une variabilité de 4% dans les nucléotides génomiques entre SARS-COV-2 et un coronavirus lié au SRAS des chauves-souris (SARSR-COV; RATG13), la différence sur les sites neutres était de 17%, suggérant que la divergence entre les deux virus est beaucoup plus grande que précédemment estimée. Les résultats suggèrent que le développement de nouvelles variations des sites fonctionnels dans le domaine de liaison aux récepteurs (RBD) du spike observé dans le SRAS-CoV-2 et les virus du pangolin SARSr-CoVs sont probablement causés par des mutations et une sélection naturelle en plus de la recombinaison.

C'était là l'étendue des connaissances sur le coronavirus au 25 avril 2020 et les choses n'ont pas tellement évolué depuis, comme vous allez le voir en lisant cet article qui vous révèle des choses concernant ce que le gouvernement vous cache depuis des mois et des mois dans son propre intérêt et non le votre.
 

Les mutations, les différentes souches et les variants

Le 19 avril 2020, Li Lanjuan (李兰娟), experte du Covid-19 de 73 ans, faisait une découverte de taille. Grâce à une méthode sophistiquée de « séquençage ultra-profond », elle obtenait la preuve que certaines mutations du coronavirus peuvent conduire à des souches beaucoup plus létales que d’autres.

Les analyses génétiques des populations de 103 génomes du SRAS-CoV-2 ont indiqué que ces virus ont évolué en deux types principaux (désignés L et S), qui sont bien définis par deux SNP différents qui montrent clairement le lien complet entre les diverses souches virales séquencées à ce jour (avril 2020).


Après avoir analysé les séquences génétiques du Sars-CoV-2 retrouvées chez 11 patients choisis au hasard à Hangzhou, l’équipe du Dr Li observa comment ces différentes souches s’attaquent aux cellules humaines. La souche la plus agressive peut générer 270 fois plus de charge virale que la souche la plus faible. En un évènement rare, les chercheurs constatèrent également trois mutations consécutives chez un même patient de 60 ans ayant passé plus de 50 jours à l’hôpital à lutter contre le virus…

Bien que le type L (∼70%) soit plus répandu que le type S (∼30%), le type S s'est avéré être la version ancestrale. Il se trouve que les souches les plus courantes retrouvées dans le Zhejiang sont différentes de celles de Wuhan, mais sont celles retrouvées en majorité en Europe et à New York. Alors que le type L était plus répandu aux premiers stades de l'épidémie à Wuhan, la fréquence du type L a diminué après début janvier 2020.

Les différences de mortalité d'une région à l'autre

Le Covid Memorial Project
L'intervention humaine peut avoir exercé une pression sélective plus sévère sur le type L, qui pourrait être plus agressive et se propager plus rapidement. Outre différents facteurs comme l’âge, des conditions préexistantes, le type sanguin (ou la transparence des autorités), cela donnerait-il enfin un début d’explication aux différences de mortalité constatées d’une région à l’autre du globe ?

On constate notamment que les pays pour lesquels on craignait le plus en raison de leur faiblesse en matière de santé publique, l'Afrique et l'Inde par exemple, sont les pays les moins touchés alors que les nations les plus évoluées sont les plus à mal.

La fréquence relative du type S, qui est évolutivement plus ancienne et moins agressive, pourrait avoir augmenté en raison d'une pression sélective relativement plus faible. Ces résultats appuient fermement une nécessité urgente de nouvelles études complètes combinant des données génomiques, des données épidémiologiques et des enregistrements de graphique des symptômes cliniques des patients atteints de coronavirus (Covid-19).

Dans tous les cas, cette découverte devrait inciter les hôpitaux à adapter leur méthode de traitement, qui est actuellement la même pour toutes les souches du virus. Surtout, « il faut absolument évaluer l’impact de ces mutations sur le développement de remèdes ou de vaccins », alertait le Dr Li.
 

Les cas de réinfection

Autre mystère : à Wuhan, un nombre croissant de patients réputés guéris après deux tests nucléiques à 24h d’intervalle, étaient testés à nouveau positifs au virus sans développer de symptôme parfois jusqu’à 70 jours plus tard !

Même constat en Corée du Sud, où 1 000 patients guéris étaient testés positifs quatre semaines plus tard. Les médecins excluaient la possibilité d’une réinfection à l’hôpital. Cet aspect pourrait complexifier la remise en marche du pays, même si on ne sait pas exactement si ces patients sont contagieux.

Selon les hôpitaux chinois, des douzaines de cas sont concernés. C’est une donnée-clé pour de nombreux pays qui s’apprêtent à lever leur confinement dans les semaines à venir. Actuellement, la recommandation est de garder en isolation les patients 14 jours supplémentaires. A Pékin, le cas d’un étudiant de retour des États-Unis développant des signes du virus deux jours après la fin de sa quarantaine, contaminant au passage trois membres de sa famille, forçait les autorités à rallonger le confinement à 21 jours.

En France, la durée de l'isolement a été au contraire ramené de 14 jours à 7 jours. C'est comme si le gouvernement français voulait que l'épidémie se poursuivre car, au final, ça les arrange bien de pouvoir instaurer une dictature sanitaire et restreindre les libertés. Ils peuvent ainsi limiter les manifestations et l'opposition grandissante telle que le mouvement des Gilets Jaunes.

Vaxxin covid

On constate également que depuis le début des vaccinations les cas ont explosé dans certains pays qui n'avaient jusqu'alors connu qu'une très faible éruption de la maladie. C'est notamment le cas en Inde et en Thaïlande et ça va sans doute le devenir en Afrique quand la vaccination va réellement débuter sur ce continent pour l'instant relativement épargné par le COVID. Au Congo, par exemple, il n'y a eu officiellement que 38 cas jusqu'à présent. On en reparlera dans quelques mois.

Le problème de la fiabilité des tests

Test de dépistage anti-COVID
A cela s’ajoute le problème de la fiabilité des tests, variant sensiblement selon la qualité du prélèvement. Certains patients ont dû se faire tester 4 ou 5 fois à l’acide nucléique, ou finalement faire un test aux anticorps pour avoir la confirmation qu’ils étaient bien contaminés. Il faut absolument reconnaître les limites de ces tests, rappellent certains experts. D’ailleurs, si la 5ème version des critères de diagnostics chinois, publiée le 5 février 2020, basée uniquement sur les signes cliniques (sans qu’un test positif soit nécessaire), avait été maintenue jusqu’au 20 février, le bilan aurait été de 232 000 cas (au lieu des 55 508 déclarés), selon Peng Wu, de l’université de Hong Kong.

C’est pourquoi la Chine s’est lancée dans une vaste enquête épidémiologique dans neuf régions pour déterminer le nombre de cas asymptomatiques et le niveau d’immunité de la population. Depuis le début de l’épidémie, ils seraient 6 764 à avoir été testés positifs au Covid-19, sans avoir développé de signes de la maladie. Seuls les 1 297 ayant présenté des symptômes ont été ajoutés au bilan total, soit un cinquième. A Wuhan, entre le 8 et 15 avril, la municipalité a testé 275 400 personnes et seulement 182 étaient positifs, soit un ratio de 0,066/100. Appliqué à ses 11 millions d’habitants, cela ne représenterait que 7 000 cas. C’est extrêmement peu, mais suffisant pour provoquer de nouvelles contaminations, la hantise des autorités. En parallèle, les géants du e-commerce Alibaba et JD.com ont lancé dans neuf villes un service de réservation pour se faire dépister dans le centre le plus proche. A Pékin, le test coûte 258 yuans, contre 180 yuans à Shanghai.

Outre le problème de la fiabilité des tests se pose celui de la fiabilité des vaccins. On note par exemple le cas d'un voyageur qui avait été vacciné avec trois types de vaccins différents et qui a été mis en quarantaine à son arrivée en Australie car il a été dépisté positif.
 

Les surestimations bienvenues pour les pouvoirs publics

Manifestation antigouvernementale en France
Finalement, quatre mois après son émergence, les scientifiques réalisent qu’ils ne savent que peu de choses sur ce mystérieux virus, mutant, résistant, fatal pour certains, invisible chez d’autres… « Si les prochaines découvertes bousculent nos perceptions, ne soyez pas étonnés », conclut le Dr Li.

Et un an et 5 mois après le début de l'épidémie en Chine, on constate qu'on n'en sait pas plus. Le 20 mai 2021, le gouvernement français annonce qu'après régulation, Santé publique France annonce avoir surestimé le nombre de contaminations journalières depuis plusieurs mois de 6%, soit 348.846 cas de COVID19 en trop depuis février. L’agence indique, après correction, que le taux d’incidence (pour la France entière) a été surestimé de 12 %, le taux de positivité de 8 %, et le nombre de cas confirmés de 6 %. Et cette surestimation n'est pas résultante de tests produisant de faux-positifs. L’agence a expliqué qu’un problème d’algorithme avait conduit à des doublons dans les remontées de tests, entraînant une surestimation du taux d’incidence et de positivité. Dans le même temps, l'agence anglaise vient de révéler avoir sciemment menti sur les chiffres pour conserver un climat de peur.

Ceci nous rappelle le scandale de l'été dernier quand nous avions appris fin août que les dépistés positifs sur leur lieu de vacance étaient comptabilisé dans la ville de leur domicile. Il y avait ainsi potentiellement des apparitions de foyers épidémiques dans le nord ou à Paris alors que les gens se trouvaient en réalité sur les plages. Aucun suivi de l'évolution géographique de l'épidémie n'était donc plus possible et c'est scientifiquement un comble !

En conclusion vous constaterez qu'aucune avancée notoire n'a été effectuée depuis les premiers mois de l'apparition du virus en Chine. Chine qui a fait un effort formidable en matière de recherche en très peu de temps. Depuis le mois de mai 2020 les gouvernements occidentaux alimentent la peur pour pousser leur peuple à la soumission et à la vaccination de force. Ils mentent sur les chiffres et étouffent toute démarche scientifique qui irait dans le bon sens. Leur but est de maintenir un climat anxiogène pour pouvoir imposer le paϟϟ-sanitaire et avoir le contrôle sur les déplacements et les activités de chacun, à l'encontre des libertés de circulation et des principes les plus élémentaires des droits de l'homme.

Ne vous laissez pas formater et résistez pour conserver votre libre-arbitre et votre liberté car la liberté est le bien le plus précieux que nous avions. C'est d'ailleurs comme ceci que commence la devise de la France que l'on retrouve sur les façades de toutes nos mairie : LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE.

Non à la ségrégation sanitaire ! Non à l'Apartheid ! VIVE LA FRANCE !


 
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Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le , il y a moins d'un an.