Les temples de Karnak

Temple de Karnak
Louxor, en Égypte, sur la rive est du Nil, se trouvent les vestiges archéologiques du vaste complexe de temples de Karnak, datant du 32ème siècle avant J.-C.

Avec ses nombreuses structures, dont de grands temples, des obélisques et une allée de sphinx, Karnak représente la réussite combinée de nombreuses générations d'anciens bâtisseurs égyptiens.

Quand on se rend à Louxor et que l'on regarde le temple de Karnak, on voit de grands piliers, des obélisques surdimensionnés, et ce qui est très étonnant dans cette région, c'est que c'est l'un des rares endroits où plus de 30 pharaons ont contribué à sa grandeur et à son rayonnement architectural sur une vaste période de temps.

Pendant des siècles, les archéologues et les spécialistes ont considéré Karnak comme l'un des exemples les plus spectaculaire de la capacité technologique remarquable de l'homme primitif. Mais les techniques de construction utilisées dans la construction de ces monuments incroyables révèlent-elles des preuves de quelque chose de plus, de quelque chose qui ne soit pas de cette terre ?


Lorsque nous commençons à regarder des hiéroglyphes, nous sommes étonnés de la beauté et de la minutie avec laquelle ils ont été sculptés. La technologie que nous voyons est clairement proche de la perfection qui fait sa beauté et qui fait presque pleurer notre cœur à chaque fois que vous la rencontrez. On a du mal à retenir nos larmes quand on les voit en vrai.

Des machines-outils dans l'Antiquité

Les experts pensent que les preuves les plus convaincantes d’usinage avancé sont visibles sur les obélisques de Karnak, ces colonnes en forme d'aiguille quadrangulaire. L'obélisque est sculpté avec les mêmes inscriptions sur les quatre côtés. Elles sont toutes parfaitement identiques et elles sont toutes magnifiquement sculptées dans cette pierre de granit rose. Si nous examinions cela aujourd'hui nous dirions qu'il s'agirait d'une machine qui aurait réalisé ces choses. Par exemple, il y a des rainures qui font 35 cm de large et 1 cm de profondeur. Quand on regarde à l'intérieur, on voit qu'elles ont été creusées par un outil rotatif. C'est donc un outil qui est entré, est sorti, est descendu, est entré, est sorti, et ainsi de suite. La main humaine, peu importe à quel point vous êtes doué, ne pourrait jamais faire ça. Les empruntes d'outil en elles-mêmes, la précision, la profondeur, n'ont pas pu être réalisées à la main. Certaines de celles-ci étaient si précisément gravées qu'il fallait des machines-outils pour le faire.

La trousse à outils que les anciens Égyptiens étaient supposés utiliser à l'époque ne pouvait pas permettre d'obtenir un tel résultat. Pour de nombreux chercheurs, la précision apparente utilisée dans la construction des obélisques à Karnak suggère un niveau d'expertise du XXIe siècle.

La précision est ce sur quoi notre civilisation est basée. Fabriquer quelque chose à 1/100e de cm ou 1/1 000e de cm est assez courant aujourd'hui, parce que cette tolérance ou cette précision est nécessaire et utile. Parce que nous sommes habitués à une telle précision, nous avons les outils nécessaires. Mais comment pouvons-nous expliquer une telle précision dans les constructions anciennes ?

La symétrie parfaite de la statue de Ramsès

Si vous regardez la statue de Ramsès, elle est si parfaite que vous vous demandez comment cela a été fait avec des outils prétendument primitifs. Parce qu'aujourd'hui, nous ne pourrions le faire qu'avec des machines.

Nous vérifions donc la symétrie de la statue de Ramsès : nous prenons deux images de la même photographie reproduite sur des films transparents et comparons la gauche avec la droite. Puis nous retournons l'une des deux et la rapportons sur l'original et, comme nous pouvons le constater, ça s'ajuste parfaitement.

Les anciens Égyptiens étaient très habiles à travailler le granit. Mais on ne vois pas comment ils auraient pu créer ce qu'ils ont créé avec les outils communément acceptés dans la boîte à outils des anciens Égyptiens, tels que des ciseaux en cuivre ou en pierre, des maillets en bois, des boules en pierre.

 
Un site du CNRS sur la restauration des monuments de Karnak.

Mais si autant d'historiens et d'archéologues soutiennent que les anciens constructeurs ne possédaient pas l'équivalent des outils modernes, comment ces monuments ont-ils été construits avec une telle précision mathématique ? Peut-être que la réponse peut être trouvée en comparant un exemple de sculpture ancienne avec un modèle fabriqué selon des méthodes plus modernes.

Une machine à façonner les visages

Nous pouvons comparer les sculptures égyptiennes avec un modèle en aluminium d'une machine à façonner le visage. Les stries qui descendent le long du visage sont similaires aux stries qui descendent le long du visage de la statue à Karnak, en Égypte. On peut déceler également des marques d’outil, comme par exemple au-dessus du sourcil, qui nous montre en quelque sorte quel type d’outils ou la forme des outils qu’ils ont utilisés.

Ainsi, les éléments qui confèrent cet usinage à une statue ancienne ne sont pas seulement la symétrie, mais également la géométrie, la précision et les marques d’outil. Nous retrouvons ces trois éléments dans l’usinage moderne et la statue ancienne.

C'est une chose extrêmement difficile à faire à la main sans introduire certains systèmes mécaniques. Cela semble impossible. Mais si les marques d'outils visibles sur la statue de Ramsès paraissaient identiques à celles fabriquées avec des méthodes modernes, cela ne prouverait-il pas que les anciens constructeurs avaient accès à des machines et peut-être même à l'électricité ?

Ils n'avaient apparemment pas d'électricité, ni d'outils électriques. Ils n'avaient pas non plus de scie à diamant. Mais pourtant, ils font des choses qui nécessiteraient un travail de précision avec des outils de précision. Alors, où ont-ils obtenu ces choses ? Comment ont-ils pu disposer de ces outils d'usinage de pointe que nous venons d'acquérir nous-mêmes aujourd'hui dans notre civilisation ? Une réponse serait qu'ils l'avaient obtenue d'anciens extraterrestres.

Les premiers constructeurs égyptiens ont-ils eu accès aux connaissances et à la technologie extraterrestres ? Ou les anciens constructeurs auraient-ils pu être eux-mêmes des extraterrestres ? Les questions peuvent effectivement se poser.

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