L'arbre sacré Iroko
L’Omolokô est une religion syncrétique pratiquée au Brésil à partir d'éléments africanistes, spiritualistes et Amérindiens. Elle est apparue dans la région de Rio de Janeiro au milieu du XIXème siècle et proviendrait de la connaissance apportée par les Noirs d'Afrique et leurs descendants. Ce culte s’est ensuite étendu au nord de l’état de Sao Paulo, une partie de l’Espirito-Santo, et la zone forestière (mata) du Minas-Gérais.
L’Omolokô est un héritage de la période coloniale, celle-ci ayant été influencée par plusieurs aspects religieux de l'Afrique, principalement le culte des divinités Orishas et les inkices. Il possède sa forme particulière de culte, tout en gardant la cosmologie de chaque source, ainsi que le mélange avec les rituels religieux contemporains.
L’omoloko n’est plus très actif au Brésil, mais reste en revanche très présent en Argentine et en Uruguay.
L’Omolokô est un héritage de la période coloniale, celle-ci ayant été influencée par plusieurs aspects religieux de l'Afrique, principalement le culte des divinités Orishas et les inkices. Il possède sa forme particulière de culte, tout en gardant la cosmologie de chaque source, ainsi que le mélange avec les rituels religieux contemporains.
L’omoloko n’est plus très actif au Brésil, mais reste en revanche très présent en Argentine et en Uruguay.
Les origines
Il existe diverses versions concernant les origines du terme Omoloko. Le mot est formé à partir de deux autres mots issus de la langue Yoruba. Mais il existe trois interprétations différentes :
L’une le fait provenir du mot Yoruba Omo qui signifie fils et du mot Loko qui ferait référence à l'arbre Iroko qui est l’arbre sacré. C'est la version de Léa Maria Fonseca da Costa.
Dans la deuxième version, celle de Tancredo da Silva Pinto, ce serait le fils (omo) et oko qui est une ferme ou une zone rurale, en référence au fait qu'aux premiers temps de l'esclavage les cérémonies du culte omoloko se tenaient dans la forêt dans des endroits difficiles d’accès afin d’échapper aux répressions des colons.
Au début de l'époque coloniale (1884), le cœur du territoire Lunda a été divisée entre l'Angola portugaise, l'état libre du Congo du Roi Léopold II de Belgique (devenu le Congo Belge en 1908) et la Rhodésie du nord-ouest qui est devenue la Zambie.
La troisième version se rapporte au fils de l’Orisha Oko, divinité de l’agriculture, qui était vénéré pendant les nuits sans lunes par esclaves cultivant l’igname. Sans doute cette relation à la divinité agricole est-elle à l’origine de l’appellation « terreiro de roça » (cour de ferme) donnée aux lieux où les cultes sont effectués.
Une autre version, plus récente, attribut l’origine du nom au peuple Loko qui vivait dans l’arrière pays de la Sierra-Leone et était gouverné par le roi Farma. C'était un roi très puissant. Sa capitale était Lokoja située le long de la rivière Mitombo, un affluent de la rivière Benue, elle-même étant un affluent du grand fleuve Niger. Lokoja était proche du royaume des Yoruba. Les Lokos furent également appelés Lagos, Lândogo et Sosso. C'est en 1606 que l'on mentionne pour la première fois le nom de Loko. Ils vécurent jusqu'en 1917 en étant divisé en petites tribus le long des rivières Motombo, Benue et du fleuve Niger et le long de la côte de la Sierra Leone. En 1664, le fils du roi Farma fut baptisé avec le prénom du roi Philippe, ce qui démontre que le syncrétisme afro-catholique existait déjà en Afrique avant l'arrivée des esclaves au Brésil.
Ces tribus Loko appartenaient à un groupe ethnique majeur appelé les « Mane » qui ont été massivement déportés comme esclaves au Brésil. On pense que ce sont eux qui ont formé la nation omoloko.
Dans Rio de Janeiro, le métissage et l'influence du spiritisme français a mis en place un nouveau mouvement appelé Omolokô, propagé principalement par Tancredo da Silva Pinto. Il reste comme un exemple de la maison Okobalaye, fondée dans la ville de São Gonçalo, et le Centre Spirituel Saint Benoît, basé dans la rue du conseiller municipal Maurício de Souza, au numéro 97, à Engenhoca, Niterói, RJ, dirigé par le Père Matuazambi d'origine nago.
L’une le fait provenir du mot Yoruba Omo qui signifie fils et du mot Loko qui ferait référence à l'arbre Iroko qui est l’arbre sacré. C'est la version de Léa Maria Fonseca da Costa.
Dans la deuxième version, celle de Tancredo da Silva Pinto, ce serait le fils (omo) et oko qui est une ferme ou une zone rurale, en référence au fait qu'aux premiers temps de l'esclavage les cérémonies du culte omoloko se tenaient dans la forêt dans des endroits difficiles d’accès afin d’échapper aux répressions des colons.
Au début de l'époque coloniale (1884), le cœur du territoire Lunda a été divisée entre l'Angola portugaise, l'état libre du Congo du Roi Léopold II de Belgique (devenu le Congo Belge en 1908) et la Rhodésie du nord-ouest qui est devenue la Zambie.
La troisième version se rapporte au fils de l’Orisha Oko, divinité de l’agriculture, qui était vénéré pendant les nuits sans lunes par esclaves cultivant l’igname. Sans doute cette relation à la divinité agricole est-elle à l’origine de l’appellation « terreiro de roça » (cour de ferme) donnée aux lieux où les cultes sont effectués.
Une autre version, plus récente, attribut l’origine du nom au peuple Loko qui vivait dans l’arrière pays de la Sierra-Leone et était gouverné par le roi Farma. C'était un roi très puissant. Sa capitale était Lokoja située le long de la rivière Mitombo, un affluent de la rivière Benue, elle-même étant un affluent du grand fleuve Niger. Lokoja était proche du royaume des Yoruba. Les Lokos furent également appelés Lagos, Lândogo et Sosso. C'est en 1606 que l'on mentionne pour la première fois le nom de Loko. Ils vécurent jusqu'en 1917 en étant divisé en petites tribus le long des rivières Motombo, Benue et du fleuve Niger et le long de la côte de la Sierra Leone. En 1664, le fils du roi Farma fut baptisé avec le prénom du roi Philippe, ce qui démontre que le syncrétisme afro-catholique existait déjà en Afrique avant l'arrivée des esclaves au Brésil.
Ces tribus Loko appartenaient à un groupe ethnique majeur appelé les « Mane » qui ont été massivement déportés comme esclaves au Brésil. On pense que ce sont eux qui ont formé la nation omoloko.
Dans Rio de Janeiro, le métissage et l'influence du spiritisme français a mis en place un nouveau mouvement appelé Omolokô, propagé principalement par Tancredo da Silva Pinto. Il reste comme un exemple de la maison Okobalaye, fondée dans la ville de São Gonçalo, et le Centre Spirituel Saint Benoît, basé dans la rue du conseiller municipal Maurício de Souza, au numéro 97, à Engenhoca, Niterói, RJ, dirigé par le Père Matuazambi d'origine nago.
Le culte des divinités
Dans le culte omoloko les divinités ont des noms Yoruba (Nago) et leur panthéon est semblable à celui du Candomblé. Mais l’omoloko vénère à égalité les Orishas des Yorubas et les Knisis (inkices) des bantous, principalement Angola. C’est d’ailleurs cette vénération, à part égale, de « nations » différentes, qui dissocie l’omoloko du candomblé.
Il existe des rituels et des pratiques du culte des Orishas, des Mestizos et des « Pretos-velhos » (vieux noirs ) comme dans l'Umbanda. Les chercheurs et les praticiens soulignent d'ailleurs que l'Omolokô est l'un des facteurs clés de la formation de l'Umbanda africanisée aux côtés du Candomblé Cabocle (le Cabula) et du Candomblé. Il aurait surgi, selon Tancredo da Silva Pinto, des peuples africains Lunda Quioco. Cependant l’omoloko n’est pas l’Umbanda.
Certaines personnes ont affirmé à tort que l'Omolokô était comme un mélange entre l'Umbanda et le Candomblé. Mais ce n'est ni l'un, ni l'autre, ni un mélange des deux.
Les divinités Orisha du culte omoloko s'appellent les omorixás. Ils sont considérés comme des messagers. Ce sont en fait eux qui élèvent les demandes afin qu'elles puissent atteindre les énergies plus pures. Sans eux les humains ne pourriez pas les atteindre. Par conséquent, ils représentent principalement une fonction de transformation et d'élévation.
Le culte Omoloko travaille avec différentes formes d'énergie. Les Orixalas sont l'une des forces les plus pures. Ce pouvoir vient de la nature. Chaque saint Orixalas s'occupe d'un aspect de la vie terrestre pour atteindre une certaine élévation. Chacun symbolise une force de la nature, et quand nous y ajoutons une représentation de l'univers ça forme une organisation complexe dans laquelle il existe des frontières entre chaque saint. Chaque Orixalas est destiné à atteindre un équilibre délicat, ce qui nous permet de tirer parti de son énergie. Dans le panthéon olomoko il existe 72 divinités, mais en raison de l'aspect matériel, le culte n'en met seulement quelques-uns au sein des temples.
L’omoloko aurait été initié au Brésil par Maria Batayo, une esclave originaire, ou du moins embarquée à Fort Mina, sur la côte de Guinée, mais à ce stade nous disposons d’une source unique qui ne nous permet pas de recouper nos informations.
Son représentant le plus significatif est Tatá Tancredo da Silva Pinto, un courrier du bureau de poste habitant Morro de São Carlos. C'était un grand érudit, chroniqueur et écrivain.
Certains disent que c'est une fille d'esclaves, Léa Maria Fonseca da Costa, qui aurait conservé la désolidarisation entre l'Omolokô et l'Umbanda.
La diaspora des divinités adorées dans l'Omolokô est le même que celui utilisé par le Candomblé et son organisation dogmatique ne diffère pour ainsi dire pas de celle de l'Umbanda qui adore moins de divinités et sous une forme largement syncrétique.
Au sein de la Nation Omoloko, les caboclos sont des esprits avec un certain degré d'évolution spirituelle qui se sont avérés des guides de lumière pour aider leur prochain. A l'origine, on pensait qu'ils étaient des Indiens, mais ont a réalisé plus tard qu'ils pouvaient venir de partout sur la planète. Donc, aujourd'hui, il existe les Caboclos (Indiens), d'Afrique, les pretos, etc ...
Les Phalanges sont des groupes d'esprits qui possèdent la même vibration : pretos de Velhos, caboclos, Exus, crianças, boiadeiros, Ciganos, orientaless, ...
Les Linea de Caboclo sont généralement les esprits des ancêtres qui vivaient quand la terre a été nouvellement formée, et ont constitué des partenariats avec une organisation structurelle parfaite. Tout a été découvert par eux, de la culture à la maison. En tant qu'êtres primitifs ils sont bien au courant de tout ce qui vient de la terre. Asin les caboclos sont les meilleurs guides pour enseigner l'importance des herbes et de la nourriture. Comme les Pretos Velhos, ils ont une grande élévation spirituelle.
Il existe des rituels et des pratiques du culte des Orishas, des Mestizos et des « Pretos-velhos » (vieux noirs ) comme dans l'Umbanda. Les chercheurs et les praticiens soulignent d'ailleurs que l'Omolokô est l'un des facteurs clés de la formation de l'Umbanda africanisée aux côtés du Candomblé Cabocle (le Cabula) et du Candomblé. Il aurait surgi, selon Tancredo da Silva Pinto, des peuples africains Lunda Quioco. Cependant l’omoloko n’est pas l’Umbanda.
Certaines personnes ont affirmé à tort que l'Omolokô était comme un mélange entre l'Umbanda et le Candomblé. Mais ce n'est ni l'un, ni l'autre, ni un mélange des deux.
Les divinités Orisha du culte omoloko s'appellent les omorixás. Ils sont considérés comme des messagers. Ce sont en fait eux qui élèvent les demandes afin qu'elles puissent atteindre les énergies plus pures. Sans eux les humains ne pourriez pas les atteindre. Par conséquent, ils représentent principalement une fonction de transformation et d'élévation.
Le culte Omoloko travaille avec différentes formes d'énergie. Les Orixalas sont l'une des forces les plus pures. Ce pouvoir vient de la nature. Chaque saint Orixalas s'occupe d'un aspect de la vie terrestre pour atteindre une certaine élévation. Chacun symbolise une force de la nature, et quand nous y ajoutons une représentation de l'univers ça forme une organisation complexe dans laquelle il existe des frontières entre chaque saint. Chaque Orixalas est destiné à atteindre un équilibre délicat, ce qui nous permet de tirer parti de son énergie. Dans le panthéon olomoko il existe 72 divinités, mais en raison de l'aspect matériel, le culte n'en met seulement quelques-uns au sein des temples.
L’omoloko aurait été initié au Brésil par Maria Batayo, une esclave originaire, ou du moins embarquée à Fort Mina, sur la côte de Guinée, mais à ce stade nous disposons d’une source unique qui ne nous permet pas de recouper nos informations.
Son représentant le plus significatif est Tatá Tancredo da Silva Pinto, un courrier du bureau de poste habitant Morro de São Carlos. C'était un grand érudit, chroniqueur et écrivain.
Certains disent que c'est une fille d'esclaves, Léa Maria Fonseca da Costa, qui aurait conservé la désolidarisation entre l'Omolokô et l'Umbanda.
La diaspora des divinités adorées dans l'Omolokô est le même que celui utilisé par le Candomblé et son organisation dogmatique ne diffère pour ainsi dire pas de celle de l'Umbanda qui adore moins de divinités et sous une forme largement syncrétique.
Au sein de la Nation Omoloko, les caboclos sont des esprits avec un certain degré d'évolution spirituelle qui se sont avérés des guides de lumière pour aider leur prochain. A l'origine, on pensait qu'ils étaient des Indiens, mais ont a réalisé plus tard qu'ils pouvaient venir de partout sur la planète. Donc, aujourd'hui, il existe les Caboclos (Indiens), d'Afrique, les pretos, etc ...
Les Phalanges sont des groupes d'esprits qui possèdent la même vibration : pretos de Velhos, caboclos, Exus, crianças, boiadeiros, Ciganos, orientaless, ...
Les Linea de Caboclo sont généralement les esprits des ancêtres qui vivaient quand la terre a été nouvellement formée, et ont constitué des partenariats avec une organisation structurelle parfaite. Tout a été découvert par eux, de la culture à la maison. En tant qu'êtres primitifs ils sont bien au courant de tout ce qui vient de la terre. Asin les caboclos sont les meilleurs guides pour enseigner l'importance des herbes et de la nourriture. Comme les Pretos Velhos, ils ont une grande élévation spirituelle.
Le jardin des saints
Les cérémonies omoloko se déroulent dans le terreiro appelé « roça-de-santo » (le jardin des saints), en souvenir dans la période de répression des premiers esclaves où ceux-ci adoraient les Orishas secrètement dans les champs et les fermes des planteurs. C'est là qu'ont lieu les célébrations et les rituels aux Orishas.
Ce local se divise en deux parties, l’une ouverte à tous et dans laquelle on peu boire, fumer se décontracter, et l’autre dans laquelle sont effectués les rituels secrets, sont conservés les objets de culte, sont préparés les aliments destinés aux offrandes aux saints.
Le roça-de-santo est un endroit où se concentre et émane de l'énergie qui sert à protéger, réaliser des charmes, garantir l'équilibre de la vie et améliorer la foi aux omorixás.
Ce local se divise en deux parties, l’une ouverte à tous et dans laquelle on peu boire, fumer se décontracter, et l’autre dans laquelle sont effectués les rituels secrets, sont conservés les objets de culte, sont préparés les aliments destinés aux offrandes aux saints.
Le roça-de-santo est un endroit où se concentre et émane de l'énergie qui sert à protéger, réaliser des charmes, garantir l'équilibre de la vie et améliorer la foi aux omorixás.
Tata T'Inkice Tancredo Da Silva Pinto
Tancredo da Silva Pinto, né le 10 Août 1905 à Cantagalo, dans l'état de Rio, est venu vivre à Rio de Janeiro pendant son adolescence. Il est le fils de Belmiro da Silva Pinto et de Pinto de Miranda Edwirges. Ses grands-parents maternels sont Manuel Luis de Miranda et Miranda Enriqueta. Son arbre généalogique remonte à de grands chercheurs et praticiens du culte de l'Afrique ancienne et immortelle.
Son grand-père était le fondateur des premiers carnavals, ayant fondé les groupes "Avança", "Treme-Terra" et aussi "Cordão Mystic", un mélange de cabocle avec les rituels africains.
En 1950, en raison de la grande persécution des umbandistes dans la plupart des Etats de l'Union et dans l'ancien District fédéral, il fonde la Confédération Spiritualiste Umbandiste du Brésil et parcoure presque tout le pays. La fondation de la Fédération a pour objectif l'organisation du culte de la personnalité.
Tancredo da Silva Pinto a reçu en séance solennelle de la Chambre de l'ancien Etat de Guanabara le titre de citoyen Carioca, pour les services fournis à la population. Il a publié plus de 30 œuvres littéraires sur la diffusion de l'Umbanda et l'Omolokô. Il a été fondateur et collaborateur de plusieurs journaux et magazines destinés à clarifier et à guider les adeptes de la religion afro-brésilienne.
Tancredo da Silva Pinto est mort en 1979.
Son grand-père était le fondateur des premiers carnavals, ayant fondé les groupes "Avança", "Treme-Terra" et aussi "Cordão Mystic", un mélange de cabocle avec les rituels africains.
En 1950, en raison de la grande persécution des umbandistes dans la plupart des Etats de l'Union et dans l'ancien District fédéral, il fonde la Confédération Spiritualiste Umbandiste du Brésil et parcoure presque tout le pays. La fondation de la Fédération a pour objectif l'organisation du culte de la personnalité.
Tancredo da Silva Pinto a reçu en séance solennelle de la Chambre de l'ancien Etat de Guanabara le titre de citoyen Carioca, pour les services fournis à la population. Il a publié plus de 30 œuvres littéraires sur la diffusion de l'Umbanda et l'Omolokô. Il a été fondateur et collaborateur de plusieurs journaux et magazines destinés à clarifier et à guider les adeptes de la religion afro-brésilienne.
Tancredo da Silva Pinto est mort en 1979.
Utilisation des poisons
Le peuple Mane avait l'habitude d'utiliser des flèches empoisonnées et des arcs courts, des épées courtes et larges, des lances, des fléchettes et des couteaux qui étaient transportés attachés sous son bras.
Pour lutter contre le poison de leurs flèches, en cas d'accident, ils utilisaient un petit sac avec un antidote.
Ils ont mis en garde leurs ennemis du jour où ils les attaqueraient avec des pailles - tant de pailles autant de jours pour l'attaque. Ils ont apporté dans leurs bras l'or et l'argent. Ils ont également été liés aux Blancs qui ont envahi l'Afrique Noire. Ils vénéraient un panthéon des dieux et des idoles de bois qui représentaient des hommes et des animaux.
Quand ils avaient gagné la guerre, ils fouettaient les idoles. Si les batailles étaient gagnées, ils offraient aux dieux des aliments et des boissons. Ils ont appelé les femmes cabondos et se remarquaient par l'absence de deux dents de devant.
Pour lutter contre le poison de leurs flèches, en cas d'accident, ils utilisaient un petit sac avec un antidote.
Ils ont mis en garde leurs ennemis du jour où ils les attaqueraient avec des pailles - tant de pailles autant de jours pour l'attaque. Ils ont apporté dans leurs bras l'or et l'argent. Ils ont également été liés aux Blancs qui ont envahi l'Afrique Noire. Ils vénéraient un panthéon des dieux et des idoles de bois qui représentaient des hommes et des animaux.
Quand ils avaient gagné la guerre, ils fouettaient les idoles. Si les batailles étaient gagnées, ils offraient aux dieux des aliments et des boissons. Ils ont appelé les femmes cabondos et se remarquaient par l'absence de deux dents de devant.