Une visite sur place s'impose

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En avril 2014, le partisan de la théorie des anciens astronautes, Giorgio Tsoukalos, s'est rendu à la base aérienne de Walker, à Roswell, au Nouveau-Mexique, afin de rencontrer le maire de la ville, Del Jurney, et de jeter un regard rare sur le hangar où se trouvaient l'épave et les corps extraterrestres de Roswell. Du moins où ils auraient été d'abord entreposés. C'est un hangar immense.

Jurney : – Alors qu'en pensez-vous ?

Tsoukalos : – J'ai la chair de poule maintenant. Je veux dire, nous marchons dans l'histoire ici.
Jurney : – C'est incroyable, n'est-ce pas ?
– Êtes-vous au courant de l'endroit où ils se trouvaient ?
– Eh bien, vous savez, les informations dont je dispose indiquent que c'est probablement juste ici dans le coin. Ils les ont emmenés là-bas, pour examiner les corps.
Tsoukalos : – Alors c'est ici que c'était.
Jurney : – C'est ça. Ils avaient des débris dans le hangar et ils ont ramené les corps dans cette pièce.
Tsoukalos : – Je ne sais vraiment pas quoi dire, parce que je veux dire, si c'était ça - Vous êtes debout où - Dans ça, oui. Où les êtres extraterrestres auraient pu être. Où sont passés les débris ? Où se sont-ils retrouvés ?
– Eh bien, cela a fini avec le gouvernement, bien sûr.
– Si j'ai bien compris, ils ont transporté les corps à la base de Wright Patterson Air Force, probablement aussi avec les débris, et les ont bien conservés dans une installation militaire quelque part.

Les chercheurs de Roswell suggèrent qu'un lien de secret sanctionné par le gouvernement a empêché les témoins de l'accident et la récupération de se manifester publiquement. Mais beaucoup ont choisi de se manifester plus tard dans la vie, y compris le premier officier militaire à arriver sur le site du crash de Roswell, le major Jesse Marcel.


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