La diffusion mondiale et le procès de Berne

Image de La diffusion mondiale et le procès de Berne
Jusqu’à la fin de la Grande Guerre, les Protocoles étaient inconnus en dehors de la Russie. La situation commença seulement à devenir gênante à partir de la fin de 1919, époque où des traductions des Protocoles furent mises en vente en Allemagne. D’autres traductions suivirent en 1920, en Amérique du Nord et en Angleterre.

Cette histoire de Protocoles rédigés par un juif pour des juifs commence à faire scandale. Suite à cela, trois articles sont publiés séparément par trois personnes différentes dans trois pays différents dans le but de fournir une explication sur l'origine de ce texte. Mais de toute évidence les explications sont fondées sur une complète invention comme si on voulait nous cacher la vérité et étouffer quelque chose.


Les Protocoles sont-ils vrais ?

La question que l'on se pose est : sont-ils des vrais ?

Il faut attendre douze ans pour que la Juiverie n’essayât de faire constater la falsification des Protocoles par une décision de justice. Le Grand Procès de Berne commença le 16 novembre 1933 pour un jugement rendu le 14 mai 1935. Il en ressort un rapport d'expertise démontrant que les Juifs et leurs témoins n’avaient pas une seule preuve valable de la falsification des Protocoles. Mais les conclusions du tribunal sont que les Protocoles sont une falsification et un plagiat d'un livre du révolutionnaire Maurice Joly, paru en 1864 sous le titre Dialogue aux Enfers entre Machiavel et Montesquieu. Les Juifs n'avaient pourtant gagné qu'une bataille, pas la guerre. Un jugement en appel fut rendu le 1er novembre 1937. La Cour d’Appel annula le premier jugement.

Les Juifs cherchent à dissimuler la vérité

Les Protocoles resteront un document qui, grâce à ce procès, sera reconnu comme étant d’autant plus authentique que la Juiverie, pour réfuter cette authenticité, n’a rien trouver de mieux qu'utiliser de faux témoignages, d’éliminer tous les témoins à décharge, de faire rédiger les procès-verbaux par des sténographes privés et d'utiliser des pièces justificatives non légalisées, des traductions erronées et des expertises tendancieuses.

Ils furent interdits de diffusion en France depuis 1990. Autorisés seulement depuis 2008 après l'abrogation de la loi du 29 juillet 1881.

La vérité sur leur auteur n'a, quant à elle, été découverte qu'à la fin du XXe siècle par un historien en littérature russe : Mikhail Lépekhine grâce à l'ouverture des archives soviétiques à partir de 1992.




Revenir au début ...   

Partager sur facebook