La responsabilité des médias

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Cette perception, peut-être consécutive au traitement sensationnel effectué par les médias, est quelque peu alarmiste, mais force est de constater qu’il existe certaines affinités électives entre satanisme et musique metal.

Satan comme symbole de liberté

Différents chercheurs en sciences religieuses reconnaissent qu’une frange des auditeurs de musique metal se réunit autour de la figure de Satan, perçu comme un symbole de révolte libertaire et une image utilisée dans le but de provoquer et s’inscrire en contre face aux normes et valeurs sociales communément admises. Pour autant, la plupart d’entre eux restent éloignés de l’adoration et de la vénération de Satan. Rares sont ceux qui croient réellement au « Prince des Ténèbres » et étudient ou mettent en pratique les doctrines et les croyances satanistes.


Sous surveillance policière

Pour autant, la rareté du satanisme délictueux ne doit pas signifier désengagement de l’État ou abandon de sa mission d’observation du fait musical metal, notamment lors des concerts des artistes « métalliques » ou dans les structures relais du metal commercial et de son univers particulier (disquaires et presse spécialisés, vendeurs de vêtements, tatoueurs et « pierceurs »).

Ces populations sont étroitement surveillées par les autorités et la police.

Source : http://www.derives-sectes.gouv.fr/publications-de-la-miviludes/guides?page=1




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