Les faux relevés présentés au public n'ont rien de scientifique

Relevés de température
On ne peut pas parler raisonnablement de réchauffement climatique quand il fait -56°C dans le Minnesota et qu'en divers endroits du monde les records de froid sont pulvérisés. Durant l'hiver 2017-2018, la Suisse a enregistré des records en certains endroits, de -23°C à -40°C. Pourtant les médias ne cessent de nous rabâcher leur réchauffement climatique.

Mais toutes les mesures de températures sont faussées parce qu'elles sont effectuées à des endroits où l'homme vit. Par exemple à Brisbane en Australie. On constate effectivement une augmentation de la température. Mais c'est forcé puisque la zone chaude se décale et vient se juxtaposer avec les zones où vivent les humains. Mais dans le même temps, si on faisait des mesures au milieu de nulle part, on constaterait des diminutions de la température moyenne qui compensent les élévations ponctuelles. Mais seulement personne ne fait ces mesures car ce sont des zones où il n'y a personne, des déserts, au milieu des mers, etc...


Donc seules les mesures des régions habitées sont prises en compte pour effectuer la moyenne annuelle, alors que justement ces régions deviennent inhabitables (et d'autres deviendraient habitables du fait du décalage de l'axe). Ces mesures ponctuelles n'ont aucune démarche scientifique. En réalité le réchauffement climatique est biaisé par de fausses mesures. Si on voulait réellement être scientifique on prendrait les mesures à des points précis et réguliers, les intersections entre les méridiens et les parallèles par exemple, sans en omettre. Pour être scientifiques il faudrait que les relevés soient répartis de façon uniforme. Les mesures qui sont effectuées actuellement n'ont rien de scientifiques. Elles sont juste sélectives.
 

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